FAQ

Il te faut avoir obtenu au moins 67 crédits du baccalauréat en communication sociale (8008) et avoir maintenu une moyenne cumulative de 2,7 et plus sur 4,3.

Oui, il te faut avoir :

  • réussi tous les cours obligatoires prévus au programme ainsi que deux cours optionnels du bloc C (COM1002, COM1003 ou ECR1006);
  • réussi, lors d’une session précédente, le cours de préparation aux stages (PPU1025);
  • confirmé ton inscription aux cours « Stage en communication (PCO1010) » et « Rapport de stage (PPU1026) » auprès de la commis aux études, dans les délais prescrits;
  • été accepté·e, à la suite d’un processus de sélection ou de nomination, au sein d’un milieu d’accueil, dont l’offre de stage a été homologuée par la coordonnatrice des stages, et entérinée par la signature de la convention de stage.

Oui, en plus de répondre aux différents critères énumérés ci-dessus, tu dois aussi te procurer - gratuitement - un permis de travail « stage COOP »(nouvelle fenêtre) auprès de Citoyenneté et Immigration Canada (IRCC). 

Non, cette activité est considérée comme essentielle dans le cadre du baccalauréat en communication sociale (cheminement avec stage).

Le stage devrait te permettre de parfaire ta formation en :

  • Analyse de données : utiliser des outils d’analyse pour suivre les performances des campagnes de communication et identifier les opportunités d’amélioration
  • Coordination interne : travailler en étroite collaboration avec les différentes équipes de l’entreprise ou de l’organisation pour mettre en place des programmes de communication pour les employés, gérer des intranets et extranets, produire une infolettre.
  • Création, correction et révision de contenu : rédiger, corriger et éditer des communiqués de presse, des articles de blogue, des scripts de vidéo et/ou des contenus pour les réseaux sociaux.
  • Gestion de crise : élaborer des plans de gestion des crises pour piloter les situations d’urgence et minimiser les dommages potentiels pour l’image de marque de l’entreprise ou de l’organisation.
  • Journalisme : recueillir, vérifier et éventuellement rapporter des faits pour informer le public dans les médias (journal, radio, télé et web).
  • Marketing : concevoir et mettre en oeuvre des campagnes de marketing pour promouvoir les produits ou services de l’entreprise ou de l’organisation.
  • Numérique et digital : concevoir et gérer des sites web, blogues, réseaux sociaux; planifier et mettre en oeuvre une stratégie numérique ou maîtriser la e-reputation de l'organisation.
  • Planification stratégique : élaborer des plans de communication et une stratégie pour atteindre les objectifs de l’entreprise ou de l’organisation.
  • Recherche : participer à la collecte de données et à l’analyse, voire à l'interprétation, de ces dernières en vue de la publication des résultats ainsi qu'à l’organisation de conférences/colloques et la rédaction d’articles scientifiques.
  • Relations publiques/relations de presse : gérer les relations avec les médias; organiser des conférences de presse et des événements pour promouvoir l’entreprise ou l’organisation.
  • Veille médiatique : suivre les actualités et les tendances pour identifier les opportunités de communication et anticiper les crises potentielles
  • Et plus encore !

Oui, il est possible de réaliser des stages aux quatre coins du pays ou encore à l’international. Il t'appartient cependant d'effectuer les démarches pour trouver un milieu d’accueil à l'étranger, en collaboration avec la coordonnatrice de stage du département et le bureau des relations internationales (BRI) de l’UQTR.

Pour plus d’informations à cet effet, visite la section dédiée au séjour de stage sur le site Internet du BRI ou communique avec leurs responsables.

Oui et non. Dans ce cas précis, il faut que l’organisation s’assure de te confier des mandats et tâches complètement différents de ceux que tu accomplis, en temps normal, dans le cadre de ton travail. L'expérience de stage sert à parfaire ta formation; elle exige donc que tu sortes de ta zone de confort et que tu te mettes au défi. 

Le stage en communication sociale comportant des évaluations sommatives, le milieu d'accueil s'engage à informer le département de tout conflit d'intérêt ou apparence de conflit d'intérêt (ex. liens familiaux ou matrimoniaux entre le tuteur et l'étudiant, dons ou cadeaux d'une valeur substantielle, etc.), dans les meilleurs délais afin de garantir la transparence et l'intégrité du processus d'évaluation du stage.

Tout manquement à cet égard, ou toute fausse déclaration, entraînerait un échec automatique pour la personne stagiaire (sans possibilité de reprise) et une exclusion de l'organisation comme milieu d'accueil potentiel pendant une période minimale de cinq ans.

Les stages sont d’une durée de seize semaines à temps plein (entre 35 et 40 heures par semaine). Ils doivent se tenir entre les dates de début et de fin de la session universitaire en cours (septembre à décembre ou janvier à avril).

La semaine de travaux et d’études (octobre) ou la semaine de relâche (mars) ne s’applique pas lors de la session de stage. 

Aucun stage n'a lieu l'été, car les membres du corps professoral qui encadrent les activités pédagogiques pendant le stage sont en vacances durant cette période et ne peuvent donc pas assurer l'encadrement de celui-ci, ni son évaluation. 

 « PC01010 - Stage en communication sociale » (12 crédits) et « PPU1026 - Rapport de stage » (3 crédits) totalisent 15 crédits, soit l’équivalent de cinq cours réguliers.

Un calendrier détaillé des activités d'apprentissage à remettre, de même que les modalités de transmission et les critères d’évaluation de celles-ci sont disponibles sur le portail pédagogique des stages.

Le lien URL vers ce portail te sera transmis lors de la séance d’information obligatoire tenue par la personne superviseure, à la fin de la session précédant le stage ou au début de la session de stage.

.En cas d'échec, les cours PCO1010 et PPU1026 ne peuvent être repris qu'une seule fois.

Si l'une et/ou l'autre de ces situations s'avèrent, tu dois en faire la demande par écrit auprès de la direction de de programme, en faisant valoir les raisons expliquant ton échec et justifiant un droit de reprise.

Cette demande sera étudiée par le comité d'évaluation d'une demande de reprise de stage, lequel est composé de la direction du programme, de la cheffe de section et d'une personne superviseure. Selon la recommandation du comité d'évaluation, le droit de reprise pourra être assorti de conditions particulières d'encadrement et de réalisation.

La décision du comité d'évaluation est finale et sans appel.

Toute situation pouvant mener à l’exclusion d’une personne stagiaire est rapportée par la personne tutrice à la coordonnatrice de stage qui en informe alors le/la superviseur·e qui assurera le suivi approprié conformément aux procédures et règlements de l’UQTR.

D'autres situations exceptionnelles (ex.: enjeu de santé publique) peuvent aussi exiger l’intervention de la direction des programmes de premier cycle lors d’un stage. Cette dernière tiendra alors informée, par courriel, toutes les parties prenantes de l'expérience de stage de l'évolution de ces dites situations, conformément aux directives reçues. 

L'expérience de stage suppose un dispositif de soutien et de contrôle pédagogiques qui implique les deux parties concernées par l’expérience :

  •  le milieu d’accueil (par la désignation d’une personne tutrice)
  •  l’Université (par la désignation d’une personne superviseure, d'une coordonnatrice de stage et d'un·e responsable pédagogique)

Chaque partie prenante joue un rôle spécifique dans l'expérience de stage et doit remplir ses responsabilités. Selon la nature de la question ou de la problématique rencontrée, il t'est donc possible de te référer à l'une ou l'autre de ces personnes. 

Les parties s’engagent par ailleurs à respecter les modalités de la Loi visant à prévenir et combattre des violences à caractère sexuel dans les établissements d’enseignement supérieur et de la Loi visant à assurer la protection des stagiaires en milieu de travail, et notamment, prendre des moyens raisonnables pour informer les personnes stagiaires et superviseur·e·s des droits prévus à ces lois et s’assurer que l’exercice d’un droit prévu ne compromette pas la réussite d’un stage.

D’abord, toute organisation, à but lucratif ou non, qui désire accueillir une personne stagiaire peut demander à être reconnue comme milieu d'accueil dans la mesure où elle répond aux conditions suivantes :

  • être une entreprise ou un organisme dûment constitué·e depuis au moins douze mois;
  • s’engager à offrir un stage de 16 semaines à temps plein (entre 35 et 40 heures/semaine). Il doit se tenir entre les dates de début et de fin de la session universitaire en cours (de septembre à décembre ou de janvier à avril);
  • mandater, au sein de son personnel, une personne pour agir à titre de tutrice. Cette dernière doit posséder au minimum un baccalauréat, de préférence en communication, et au minimum une année d’expérience au sein de l’organisation. Une expérience de travail pertinente d’au moins 10 ans pourra être considérée en l’absence de la première condition;
  • offrir des conditions de travail appropriées pour la réalisation des activités;
  • respecter les politiques en vigueur à l’université en ce qui a trait à la formation professionnelle des personnes étudiantes;
  • proposer des mandats et des tâches permettant aux personnes étudiantes de parfaire leur formation selon les normes en vigueur.

La décision de te rémunérer ou non revient entièrement au milieu d’accueil.

Toutefois, les organisations qui postulent sont informées que celles offrant une compensation financière sont souvent les plus prisées des personnes étudiantes qui doivent s’acquitter de frais de scolarité de l’ordre d’environ 2000,00 $ pour la session.

En outre, les milieux d’accueil qui décident d’aider financièrement les personnes stagiaires peuvent accéder à des subventions salariales.

Les conventions collectives de l’organisation, le cas échéant, ne s’appliquent pas à la personne stagiaire. 

Toute organisation répondant aux critères listés peut postuler comme milieu d’accueil potentiel en complétant le formulaire d’offre de stage.

Si l’organisation a déjà ciblé la personne étudiante qu’elle souhaite accueillir au moment de postuler (stage dédié), elle peut l’identifier dans la section du formulaire (6) réservée à cet effet. Sinon, l’offre de stage sera disponible pour consultation par les personnes étudiantes via le portail de l’université (banque de stages).

En règle générale, les organisations ont six semaines à partir du début de la session universitaire pour postuler en tant que milieu d’accueil en vue de la session suivante.

Aucun stage n'a lieu l'été, car les membres du corps professoral qui encadrent les activités pédagogiques pendant le stage sont en vacances durant cette période et ne peuvent donc pas assurer l'encadrement de celui-ci, ni son évaluation

Oui, tu bénéficies d'une couverture d'assurances acquise par l’université en cas d’erreur qui pourrait avoir de sérieuses conséquences, dès la signature de la convention de stage par les trois parties.

De plus, tu te dois de te conformer à des règles d’éthique, notamment en ce qui a trait à l’accès aux dossiers personnels (devoir de confidentialité) ainsi qu’au respect de la propriété intellectuelle et des droits d’auteur.

Au cours de la dernière décennie, plus de 300 organisations ont complété une offre de stage à l’intention des personnes étudiantes de troisième année du baccalauréat en communication sociale de l’UQTR (8008).