L’UQTR désire reconnaître et valoriser l’engagement bénévole des étudiants dans la communauté. L’engagement étudiant va au-delà d’une simple participation à des activités bénévoles. Il se démarque par la création ou la perpétuation de projets où l’étudiant apporte une contribution significative et assume des responsabilités autant dans des organismes universitaires que des organismes externes (à l’échelle locale, provinciale, nationale ou internationale).
Afin de reconnaître l’engagement d'un étudiant, ce dernier devra être en mesure d’évaluer son travail et les apports de son engagement, de faire un bilan de ses réalisations et d’établir un bilan des apprentissages qu’il a réalisés tout au long de son projet.
La reconnaissance d’acquis d’expérience en cours de cheminement (voir la section reconnaissance d’acquis). Il s’agit de se faire créditer un cours complémentaire ou optionnel pour son engagement dans la société. Pour être admissible, une activité se caractérise par l’engagement actif de l’étudiant dans un projet où il est susceptible de développer des compétences d’ordre personnel, professionnel et social. Cette activité doit être para-académique et bénévole. L'étudiant doit avoir fourni un minimum de 135 heures. Ces 135 heures peuvent être accumulées au cours d’une ou de plusieurs sessions d’étude et au sein d’un ou de plusieurs organismes. Cet engagement ne doit pas faire l’objet d’un cours déjà reconnu (PIC1001, PIC1002, projet communautaire dans un cours déjà existant, etc.), d’un autre cours ou d’une mention déjà accordée.
La deuxième méthode de valorisation est une mention officielle de l’engagement étudiant sur le relevé de notes de l’étudiant. Pour obtenir cette mention, l’étudiant doit déposer une demande selon les modalités prévues dans la procédure établie par le Service aux étudiants et le Bureau du registraire (voir le lien au bas de la page). Il doit avoir fourni un minimum de 90 heures d’engagement envers la communauté. Ces 90 heures peuvent être accumulées au cours d’une ou de plusieurs sessions d’étude et au sein d’un ou de plusieurs organismes. L’étudiant doit fournir une fiche descriptive des activités effectuées et une lettre d’appui de l’organisme ou des organismes qui atteste(nt) de son engagement. Cet engagement ne doit pas faire l’objet d’un cours déjà reconnu (PIC1001, PIC1002, projet communautaire dans un cours déjà existant, etc.), d’un autre cours ou d’une mention déjà accordée.
Les critères d’évaluation pour les deux modes de valorisation de l’engagement étudiant sont :
Formulaire pour la valorisation avec mention au relevé de notes : Consulter le document
Pour plus d’informations : Consulter le document
Normalement, les programmes de premier cycle de l'UQTR sont accessibles à toute personne qui satisfait aux conditions d'admission. Cependant, l'UQTR peut limiter le nombre de places dans un programme en adoptant un contingentement. Le comité de programme détermine la capacité d’accueil du programme et identifie les moyens qui seront employés pour sélectionner les candidats et candidates.
Les modalités de sélection employées par les comités (ou les responsables) de sélection sont publiées par l'UQTR. Elles tiennent compte des diverses catégories de candidats (collégiens, universitaires et adultes) et ne mettent en concurrence que les candidats d'une même catégorie.
Quand la sélection se fait à l'aide de plusieurs modes (dossier scolaire, portfolio, test, entrevue, etc.) et/ou en plusieurs étapes, l'unité responsable du programme doit déterminer à l'avance avec précision et faire connaître l'ordre et la pondération de chaque moyen et/ou étape et en avertir les candidats.
Tout responsable de programme utilisant comme mode de sélection l'entrevue doit informer les candidats sur le déroulement de l'entrevue et sur la pondération des divers critères d'évaluation au moment de la convocation à l'entrevue. L'entrevue doit être faite par au moins deux (2) personnes, dont au moins un professeur régulier de l'Université.
L’évaluation d’un programme permet de rendre compte au public de la valeur d'un programme. L'évaluation périodique permet non seulement d'améliorer le programme en question, mais aussi de le repositionner. Des décisions majeures peuvent découler de cette évaluation.
La politique d'évaluation de l'UQTR privilégie une approche dite par programme, laquelle permet un examen détaillé du programme évalué, de la qualité du contenu et de l'intégration des cours dans une structure cohérente qui favorise l'atteinte des objectifs de formation. Chaque programme de l'institution devrait être évalué au moins une fois tous les dix ans. Le but de l'évaluation périodique des programmes est d'améliorer la qualité et d'accroître la pertinence des programmes de l'institution, et ce, dans une perspective de développement. Le processus complet d'évaluation d'un programme comporte quatre grandes étapes : l'autoévaluation, l'évaluation externe, le rapport final et la diffusion des résultats de l'évaluation.
L'autoévaluation permet de jeter un premier regard critique sur la qualité et la pertinence du programme. Le comité de programme de premier cycle ou de cycles supérieurs a le mandat de constituer le comité d'autoévaluation, composé d’au moins un étudiant. Le comité d'autoévaluation considère alors la qualité et la pertinence du programme à l’aide d’un guide fourni par le décanat concerné. L’autoévaluation a pour objectifs :
L'évaluation externe a pour objectif d'assurer «la légitimité et l'objectivité du processus d'évaluation périodique, de même que sa crédibilité externe». Elle a recours à l'expertise d'au moins deux spécialistes de la discipline, lesquels sont externes à l'établissement.
Le rapport final a pour objectif d’assurer la crédibilité interne du processus d’évaluation. Le Décanat concerné a la responsabilité d’examiner attentivement le dossier d’évaluation pour en faire la synthèse en conciliant tous ses éléments afin de rédiger un rapport final d’évaluation. Ce rapport doit tenir compte des considérations et des recommandations du rapport d’autoévaluation, des avis rédigés par les experts externes et des commentaires formulés par les responsables du programme.
Pour évaluer la qualité du programme, les éléments suivants sont considérés :
Politique d'évaluation périodique des programmes.
Les conditions d’obtention d’un diplôme sont les suivantes :
Pour un grade de bachelier par cumul, les conditions supplémentaires suivantes s’appliquent :
Le règlement relatif à la qualité du français dans les programmes d’études a trois grands objectifs :
Le comité de programme définit, pour chacun des programmes dont il a la responsabilité, les stratégies et les moyens susceptibles de favoriser l'acquisition de la compétence langagière attendue au terme du programme.
Le comité de programme définit, de concert avec le ou les départements concernés, les modalités d'évaluation de cette compétence dans les cours et les autres activités éducatives du programme. Le département, en collaboration avec le directeur du comité de programme, veille à l’intégration de ces modalités d'évaluation aux plans de cours.
Il existe un règlement particulier dans les secteurs de l’enseignement des lettres et de la communication.
Le candidat admis sur la base du DEC doit avoir réussi l'Épreuve uniforme de français (ÉUF), langue d'enseignement et littérature du ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport. Le candidat ayant réussi un test de français administré par une autre université québécoise ou ayant obtenu un grade de baccalauréat dans une autre université francophone du Québec est admissible à un programme de baccalauréat, de doctorat de premier cycle et de certificat qui exige la connaissance du français dans leurs conditions d’admission.
Si un étudiant n’a pas un de ces deux tests, alors il peut être admissible selon les modalités suivantes :