Stéphane Guay, du CR-IUSMM, est en compagnie de Jean-François Fortin-Verreault, PDG du CIUSSS-EMTL, Johana Monthuy-Blanc, professeure et chercheuse, et Christian Blanchette, recteur de l’UQTR.
Le Loricorps de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) vient de franchir une autre étape dans son travail de conception. Il s’associe au Centre de recherche de l’Institut universitaire en santé mentale de Montréal.Depuis 10 ans, ce groupe de recherche de l’Université du Québec à Trois-Rivières a conçu des outils numériques pour permettre aux personnes atteintes de troubles alimentaires d’avoir accès rapidement à des soins et à des services. Appelé l’« intervenant de poche », cet outil permet aux personnes d’agir de nouveau sur leur santé.
C’est la mission [que s'est donnée] le Centre de recherche actuellement. C’est vraiment une façon de nous propulser
, explique Johana Monthuy-Blanc, chercheure et responsable du groupe de recherche Loricorps. Pour le Loricorps, [cela signifie de] se retrouver avec pas moins de 60 chercheurs qui travaillent tous dans le domaine de la santé mentale avec une approche de santé numérique.
Source : 3/02/2023
Loricorps devient partenaire du Centre de recherche de l'Institut en santé mentale de MontréalLes chercheurs du Groupe de recherche Loricorps de l'Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) ont officialisé un partenariat avec le Centre de recherche de l'Institut universitaire en santé mentale de Montréal de CIUSSS de l'Est-de-l'Île-de-Montréal (CR-IUSMM).Loricorps, c'est 10 années de recherche et d'expertise concernant la lutte aux troubles alimentaires. Ils seront à la fois à l'Université et au Centre de recherche pour continuer de développer leurs outils pour lutter contre les troubles alimentaires. Ils joindront une soixantaine de chercheurs montréalais en santé mentale et plus de 150 étudiants. Source : 3/02/2023 |
« L’annonce d’aujourd’hui n’est pas seulement celle d’une association prometteuse entre deux organisations dont la renommée n’est plus à faire dans le domaine scientifique. Il s’agit plutôt d’un message d’espoir pour les milliers de personnes présentant des troubles alimentaires, ainsi que pour leurs proches », a déclaré le recteur de l’UQTR, Christian Blanchette qui était à Montréal, vendredi matin, à l’occasion de cette annonce qui aura un impact important pour les personnes ayant un trouble de comportement alimentaire.
Image corporelle
Des recherches démontrent que les problèmes de poids résultent bien souvent d'une intériorisation des idéaux d'apparence physique et d’une perception biaisée de sa propre image corporelle. Pour les personnes en surpoids ou insatisfaites de leur corps, ces préoccupations peuvent générer des comportements alimentaires restrictifs comme la diminution importante des portions, le jeûne et l’évitement de certains aliments.