Cher(e) abonné(e),
Nous sommes ravis de vous informer que la nouvelle version d'inscription à notre infolettre est désormais disponible ! 🎉 Pour vous inscrire et rester au courant de toutes nos actualités, veuillez accéder au lien suivant : Inscription à l'infolettre
Ne manquez pas l'opportunité de recevoir nos dernières nouvelles, événements et offres exclusives directement dans votre boîte de réception. Rejoignez-nous dès maintenant !
Bien à vous, Service de la formation continue et de la formation hors campus
Le Centre universitaire de Lanaudière à Joliette continue de se développer. À l'automne 2018, déjà plus de 350 étudiants de l'UQTR suivaient des cours à Joliette. Nous prévoyons une augmentation du nombre d'étudiants à ce centre, grâce à l'implication de l'École de gestion. Dès l'automne 2019, celle-ci offrira son baccalauréat en administration des affaires, concentration gestion des ressources humaines. Ce programme est présentement en processus d'accréditation auprès de l'Ordre des conseillers en ressources humaines agréés. L'étudiant qui envisage une accréditation CRHA sera en mesure d'obtenir le titre professionnel, au terme de ses études. Ce titre atteste la compétence, la crédibilité et l'intégrité des professionnels qui sont soumis à un Code de déontologie qui les guide dans leur pratique. Réservé aux membres de l'Ordre, le titre CRHA est protégé par le Code des professions du Québec.
Amélie Barreau, Maggy Hinse et Julie Legault sont toutes les trois diplômées de la 1re cohorte à la maîtrise en administration des affaires (MBA) offerte à Vaudreuil-Dorion, au Centre universitaire de la Vallée-du-haut-Saint-Laurent (Vaudreuil-Valleyfield) de l'Université du Québec à Trois-Rivières. La vie les a mises sur la même route lors de leur passage sur nos bancs d'école et une amitié instantanée est née, il y a maintenant près de 4 ans. Grâce à leur parcours à l'université, elles disent se connaître parfaitement en situation de stress, de délais serrés et où les efforts sont gages de succès! Ces trois femmes sont déterminées, ambitieuses, passionnées et mobilisatrices, mamans travaillant à temps plein chacune dans leur domaine avec un MBA de l'UQTR à leur cursus académique. Coéquipières et fabuleuses amies, le goût du dépassement, l'intensité, le dévouement, la soif de défis et l'excellence les rassemblent.
Solidaires et vivant le même désir d'accomplissement, elles se sont questionnées sur ce qui les ferait carburer après l'université pour garder leur amitié bien vivante. Elles se sont donc inscrites en octobre 2018 pour la réalisation d'un trek d'aventure 100 % féminin d'une durée de trois jours, ainsi qu'une journée de solidarité dans le désert du Maroc. Le défi : trois jours de compétition dans la catégorie EXPERTE demandant de parcourir plus de 25 km à la marche par jour, roadbook et boussole, en main, ainsi qu'une journée de 10 km dans les dunes en solidarité au Cancer du sein, Parlons-en! Un défi physique, psychologique et solidaire, puisqu'il collaborera encore cette année avec les associations Enfants du Désert et Cancer du sein.
Vous l'avez deviné, naturellement, les gens les qualifient de « machines », le nom de leur équipe est venu de lui-même : Les Machines (équipage #404). Du coeur au ventre, elles représentent un grand nombre de femmes, d'hommes, d'étudiants, de diplômés, déterminés et prêts à faire une différence pour de bonnes causes! Elles sont le parfait exemple de ce dont l'aventure des études à l'UQTR et avec la dynamique de l'association étudiante peut résulter ! Elles en ressortent enrichies de compétences académiques, d'un réseau de contacts enviable, mais surtout, avec de grandes amitiés qui les poussent au dépassement...
La participation à ce trek nécessite une implication financière d'environ 12 000 $ pour leur équipe. De ce montant, on y compte l'inscription, les billets d'avion, les assurances, l'équipement, l'acheminement de dons et denrées, etc. L'École de gestion ainsi que l'Association étudiante hors campus les soutiennent financièrement. Elles vous inspirent, vous avez envie de les suivre et de les aider pour de bonnes causes? Rendez-vous sur leur page Facebook @lesmachines2019, elles prennent le départ le 31 octobre 2019.
Les Machines… une superbe équipe... grâce à l'UQTR et à la vie étudiante!
- Entrevue par Anne-Marie Tremblay -
Qui pense à l'utilisation de cadavres en formation, imagine des étudiants en train de disséquer un corps pendant un cours d'anatomie classique. Mais, grâce à différentes techniques d'embaumement, le laboratoire d'anatomie humaine de l'Université du Québec à Trois-Rivières ratisse beaucoup plus large. Entretien avec Gilles Bronchti, le directeur du département responsable de ce laboratoire, l'un des plus actifs au Québec en matière de formation continue.
Si lors de sa création en 1993 le laboratoire d'anatomie humaine ne servait qu'aux étudiants en chiropratique de l'UQTR, sa mission s'est élargie au fil du temps, et les installations accueillent maintenant autant des professionnels du domaine la santé, que des étudiants universitaires et collégiaux. Si bien qu'il y a deux ans, le laboratoire a accueilli 1 300 étudiants, estime Gilles Bronchti. Un chiffre en hausse constante.
Si d'autres laboratoires du genre existent à travers le Québec, la particularité de cette installation de l'UQTR, c'est la multitude de techniques d'embaumement qui y sont pratiquées, ouvrant la porte à différentes applications. D'abord, l'embaumement classique à l'aide de formol, une technique qui rend les corps rigides. Ce qui facilite la vie des étudiants en anatomie, lorsque vient le temps de disséquer un corps.
Le laboratoire utilise également la méthode Thiel, qui permet de conserver la souplesse des tissus et du système musculosquelettique. Très utile pour affiner ses gestes chirurgicaux, cette façon de conserver les corps est également très pratique pour ceux qui s'intéressent aux articulations en mouvement, comme les podiatres ou les chiropraticiens, cite en exemple M. Bronchti. « Nous sommes également l'un des rares laboratoires, voire le seul au Québec, à travailler aussi l'embaumement au sel, qui rend le corps un peu plus rigide que la méthode Thiel, mais qui permet de conserver certaines structures en meilleur état, comme la peau ou la moelle épinière », explique le directeur.
Des propriétés différentes, adaptées à différentes réalités d'apprentissage. Par exemple, les étudiants en soins préhospitaliers d'urgence peuvent faire des massages cardiaques autrement que sur un mannequin qui n'a rien de réel. « Ils réalisent alors que les corps inertes sont lourds et difficiles à déplacer, illustre Gilles Bronchti. Parfois, des cotes se cassent lors des massages et ils doivent continuer quand même. »
Chaque année, le laboratoire reçoit également des infirmières spécialisées en esthétique. « Elles peuvent alors faire une injection au botox, par exemple, sur un corps salé et, ensuite, faire une petite dissection pour voir précisément où se loge le liquide et s'il y a des vaisseaux dangereux à proximité », décrit le directeur. Autres exemples : les étudiants en ostéopathie sont capables de voir de visu les articulations, tandis que les thanatopracteurs peuvent tester de nouvelles techniques de travail. « Depuis 2013, nous recevons aussi des enseignants collégiaux dans différentes techniques de la santé, qui viennent approfondir leurs connaissances en anatomie dans nos laboratoires », ajoute Gilles Bronchti.
Bref, pour le directeur, l'utilisation de cadavres présente une véritable opportunité pour étudier le corps humain sous toutes ses facettes. Une bibliothèque en 3D qu'il serait impossible de consulter autrement. C'est également un outil parfait pour pratiquer dans des conditions qui se rapprochent de la réalité, avec des corps de différents poids et de différents âges, notamment. Si le besoin pour de la formation au laboratoire d'anatomie est réel, les installations de l'UQTR permettent aussi de mener différentes recherches, comme le projet CAVIAR. De concert avec des chercheurs français, on y étudie la ventilation pendant les messages cardiaques. Autant de bonnes raisons de donner son corps à la science!
Intéressé? L’émission Découverte s'est penché sur le laboratoire. À visionner ici
- Entrevue par Anne-Marie Tremblay -
Qu'est-ce que l'acceptabilité sociale? Il s'agit du jugement collectif auquel vos décisions, vos projets ou toute nouvelle politique mis en oeuvre sont soumis. Vous n'avez qu'à penser à certaines décisions récentes qui ont socialement mis dans l'embarras différentes compagnies.
Découvrez comment construire, maintenir ou rétablir des passerelles avec vos partenaires publics ou sociaux, afin d'assurer le succès de vos projets d'entreprise ou d'organisation. Apprenez à vous positionner face à un milieu hostile pour mener vos projets vers la réussite.
Une formation des plus appliquées!
OBJECTIFS
FORMATEUR
Christian Éthier, cadre retraité chez Hydro-Québec
Christian Éthier est détenteur de deux maîtrises, soit en éducation et en administration des affaires. Nouvellement retraité, il a occupé les fonctions de chef régional des projets spéciaux 2010-2016 et des relations avec le milieu (Mauricie-Centre-du-Québec), de chargé de projets dans le développement du Parc éolien de l'Érable, de chef clientèle et de chargé d'équipe communications et collectivités chez Hydro-Québec. Provenant initialement du monde de l'éducation, il a auparavant occupé plusieurs postes de direction d'établissement.
Tout au long de sa carrière, monsieur Éthier a su développer une expertise pointue dans la gestion des relations avec les milieux hostiles concernant un changement. Comprendre comment créer des alliances et des coalitions durables tout en défendant les intérêts de son organisation fait définitivement partie de sa grande connaissance dans le domaine de l'acceptabilité sociale.
Date : 11 et 12 avril 2019
Durée : 14 heures
Horaire : 8 h 30 à 17 h
Remise d'attestation sur place (unités d'éducation continue - UEC)
Prix : 375 $ (taxable)
Pour plus d'informations et pour inscription
www.uqtr.ca/fc.as