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Liste des personnes présentatrices

Notices biographiques des personnes présentatrices

(en ordre alphabétique)

Gabrielle Adams est doctorante en éducation à l’Université du Québec à Rimouski. Elle accomplit également diverses tâches comme chargée de cours, auxiliaire d'enseignement et de recherche. Elle s’implique au sein du Réseau de recherche et de valorisation de la recherche sur le bien-être et la réussite (RÉVERBÈRE) et du Centre de recherche interuniversitaire sur la formation et la profession enseignante (CRIFPE) à titre de représentante étudiante. Après avoir terminé son mémoire portant sur les classes flexibles, ses intérêts de recherche portent désormais sur la didactique des mathématiques et, plus particulièrement, sur le développement d’une compréhension conceptuelle des élèves du primaire.

Johanne April (Ph.D.) est professeure titulaire au Département des sciences de l’éducation de l’Université du Québec en Outaouais. Ses travaux portent sur les pratiques éducatives des enseignants de maternelle 4 et 5 ans, et plus particulièrement sur le développement psychomoteur. Elle contribue également à la formation initiale et continue dans le domaine de l’éducation préscolaire. Enfin, elle est co-auteure du livre : L’activité psychomotrice au préscolaire; des activités nécessaires au développement GLOBAL de l’enfant, 2015.

Jean-Philippe Ayotte-Beaudet est professeur au Département d'enseignement au préscolaire et au primaire de la Faculté d'éducation de l'Université de Sherbrooke et titulaire de la Chaire de recherche sur l'éducation en plein air. Ses principales activités de recherche portent sur l'éducation scientifique et sur l’éducation en plein air au primaire et au secondaire. Ses travaux ciblent plus particulièrement l'effet des contextes d'enseignement sur la qualité des apprentissages, afin que les élèves vivent des expériences signifiantes à l'école.

Mathieu Barthos est titulaire d’une maitrise en éducation (psychopédagogie) et est étudiant au doctorat en éducation à l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR). Mathieu travaille en tant qu’auxiliaire de recherche et d’enseignement au Département des sciences de l’éducation de l’UQTR et il est également membre étudiant du Réseau de recherche et de valorisation de la recherche sur le bien-être et la réussite en contexte de diversité (RÉVERBÈRE). Ses intérêts de recherche portent principalement sur la gestion de classe, l’apprentissage socioémotionnel et le développement des compétences socioémotionnelles des élèves et des personnes enseignantes au primaire.

Élisabeth Bélanger est doctorante en éducation. Elle a enseigné au préscolaire et au primaire durant quinze ans avant de faire le saut en recherche. Sa pratique professionnelle l’a amenée à s’intéresser aux processus cognitifs et cérébraux impliqués dans les apprentissages réputés difficiles. Animée par le désir de favoriser la réussite du plus grand nombre d’élèves, ses travaux de recherche concernent plus particulièrement le rôle des fonctions exécutives au regard des apprentissages scolaires. Élisabeth Bélanger est également chargée de cours et superviseure de stage à l’UQAM.

Geneviève Bergeron est professeure titulaire au Département des sciences de l’éducation de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR). En plus d’être co-titulaire de la Chaire d’excellence en enseignement Éducation par la Nature et Territoire Apprenant (ENa-TerrA) elle est également chercheuse au Laboratoire International sur l’inclusion scolaire (LISIS) et au Réseau de recherche et de valorisation de la recherche sur le bien-être et la réussite (RÉVERBÈRE). Ses travaux portent principalement sur les modalités pédagogiques et de gestion de classe permettant de soutenir l’apprentissage de tous les élèves en classe ordinaire et l’intervention éducative par la nature et l’aventure. 

Vincent Bernier est professeur au Département de Didactique de l’Université du Québec à Montréal (UQAM). Vincent est chercheur collaborateur au sein de l’Unité mixte de recherche Synergia (UMR Synergia), du Laboratoire de recherche et d’intervention sur les difficultés d’adaptation psychosociale à l’école (LARIDAPE) et du Laboratoire international sur l’inclusion scolaire (LISIS) où il est également membre du comité scientifique. Ses intérêts de recherche et travaux portent notamment sur la gestion de classe, les difficultés de comportement et les perceptions d’élèves à l’égard de celles-ci. Il s’intéresse aussi aux compétences socioémotionnelles, à l’inclusion scolaire ainsi qu’au développement professionnel des personnes enseignantes.

Marie-Claude Boivin est professeure titulaire en didactique du français à l’Université de Montréal. Après un doctorat en linguistique au Massachussetts Institute of Technology (1999), elle s’est intéressée à l’enseignement et à l’apprentissage du fonctionnement de la langue dans un contexte scolaire. Son travail sur la transposition didactique des savoirs linguistiques a notamment résulté en la publication comme coauteure d’une grammaire destinée aux étudiants du collégial (Bien écrire : la grammaire revue au fil des textes littéraires, 2003) et de deux éditions d’une grammaire destinée à la formation des enseignants de français (La grammaire moderne; 2008/2020). Ses recherches portent notamment sur l’articulation de l’enseignement de la grammaire et de l’écriture en classe de français, sur l’utilisation des connaissances grammaticales en situation d’écriture, de même que sur les erreurs linguistiques dans les textes des élèves du primaire et du secondaire. Récemment, elle s’est intéressée aux erreurs linguistiques des étudiants universitaires de première année, en relation avec leurs connaissances grammaticales et leur compréhension en lecture.

Priscilla Boyer est professeure titulaire du département des sciences de l’éducation de l’UQTR et spécialiste de la didactique du français. Elle est membre du Centre de recherche interuniversitaire sur la formation et la profession enseignante (CRIFPE), du collectif de recherche sur la continuité des apprentissages en lecture et en écriture (collectif CLÉ) et codirectrice du Laboratoire universitaire sur la didactique du français de l’UQTR (LUDIF). Ses projets de recherche actuels portent sur l’enseignement de la grammaire rénovée auprès d’élèves du secondaire, étudiant notamment les effets des obstacles cognitifs et affectifs dans l’apprentissage de la langue. Plus récemment, elle s’intéresse à la littératie universitaire, au soutien et au développement des compétences langagières des enseignantes et à la rédaction en contexte scientifique.

Josianne Caron est professeure-chercheuse en gestion de classe au sein de l’Unité départementale des sciences de l’éducation à l’Université du Québec à Rimouski (campus de Lévis). Elle est notamment affiliée au Centre de recherche interuniversitaire sur la formation et la profession enseignante (CRIFPE), au Réseau de recherche et de valorisation de la recherche sur le bien-être et la réussite (RÉVERBÈRE) et, localement, elle dirige l’équipe de recherche en sciences de l’éducation de l’UQAR (EDUQAR). Ses intérêts portent particulièrement sur la formation à la gestion de classe au primaire et en adaptation scolaire et sociale ainsi que sur l’articulation entre théorie et pratique.

Annie Charron, Ph. D., est professeure titulaire en éducation préscolaire au département de didactique à la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université du Québec à Montréal. Elle est titulaire de la Chaire stratégique sur la réussite éducative des enfants à l'éducation préscolaire à l'UQAM et cochercheure dans l'Équipe de recherche Qualité des contextes éducatifs de la petite enfance. Ses travaux de recherche portent sur la qualité de l'environnement et des pratiques éducatives pour soutenir le langage oral et écrit en contexte d'éducation préscolaire ainsi qu’à la qualité des interactions en classe et à l’engagement des enfants dans leurs apprentissages.

Estelle Desjarlais est doctorante en éducation à l'Université du Québec à Montréal,sous la direction des professeurs Patrice Potvin (UQAM) et Jean-Philippe Ayotte-Beaudet (Université de Sherbrooke). Ses intérêts de recherche se concentrent sur la didactique des sciences et technologies (ST) au niveau primaire ainsi que sur le développement professionnel des enseignants dans ce domaine. Sa recherche doctorale explore le rôle de l'émerveillement en tant qu'émotion au cœur de l'apprentissage et de l'enseignement des ST.  Estelle Desjarlais est également chargée de cours à l’Université du Québec à Trois-Rivières en didactique des ST au primaire.

Karine Desrochers est titulaire d’une maitrise en éducation option didactique et d’un baccalauréat en enseignement du français au secondaire de l’Université de Montréal. Elle est actuellement étudiante au doctorat en éducation à l’Université du Québec à Trois-Rivières en plus d’être chargée de cours et auxiliaire d’enseignement. Elle s’intéresse principalement à la didactique de l’oral, plus précisément à l’évaluation formative de la compétence à communiquer oralement et à la formation initiale des futur.e.s enseignant.e.s au regard de la didactique de l'oral. Elle est membre de différents groupes de recherche, dont le CRIFPE, le LUDIF et RUSE.

Angela Docteur Veve œuvre depuis plus de 10 ans dans les domaines de l’éducation, de la formation et de la recherche en France, en Haïti et au Canada. Enseignante de français langue seconde, elle possède également une riche expérience dans la formation d’enseignant-es et la direction d’établissements scolaires et de programmes universitaires. Elle s’intéresse aux questions relatives à l’enseignement-apprentissage du français dans des contextes postcoloniaux. Titulaire d'une double licence en sciences de l’éducation et psychologie et d’une maîtrise en didactique des langues, sa recherche doctorale porte sur le rapport à la langue française d’enseignant-es de français au secondaire en Haïti et au Québec.

Antoine Dumaine est étudiant au doctorat en sciences de l’éducation à l’Université du Québec à Trois-Rivières et se spécialise en didactique du français. Ses intérêts de recherche portent sur l’enseignement-apprentissage de la grammaire, et plus particulièrement de la syntaxe et de la ponctuation, au secondaire et au collégial, et, comme assistant de recherche, il s’implique dans plusieurs projets concernant la littératie université et la rédaction en contexte scientifique. Il est également impliqué dans l’Association québécoise des professeur·e·s de français à titre de Président de la section Mauricie-et-Centre-du-Québec et est membre étudiant du Centre de recherche interuniversitaire sur la formation et la profession enseignante (CRIFPE) et du Laboratoire universitaire sur la didactique du français de l’UQTR (LUDIF).

Christian Dumais Ph. D. est professeur titulaire de didactique du français à l’Université du Québec à Trois-Rivières et codirecteur de comité de programmes de premier cycle en éducation préscolaire et petite enfance. Ses champs d’intérêt professionnels concernent le développement des compétences en littératie, la didactique de l’oral, les apports du jeu symbolique à l’éducation préscolaire, le développement du langage des enfants de 4 ans et 5 ans ainsi que la compétence à communiquer oralement des futurs enseignants et des éducateurs en service de garde en milieu scolaire. Il est membre de différents groupes de recherche, dont le CRIFPE, le LUDIF, RÉPI et ÉRLI.

Frédérique Gingras est doctorante en éducation à l'Université du Québec à Rimouski au campus de Lévis et conseillère pédagogique associée à l'intégration linguistique, scolaire et sociale au Centre de services scolaire des Draveurs. Elle s'intéresse au développement des compétences en littératie et au développement de la compétence en compréhension de l'écrit auprès des populations d'élèves fréquentant le parcours de formation axée sur l'emploi.

Depuis l’obtention de son doctorat en 2018, Marie-Pier Goulet est retournée dans le milieu de l’enseignement pendant quatre ans, où elle a travaillé en tant que coordonnatrice du dossier mathématique de la maternelle à la sixième année, pour ensuite revenir dans la classe à temps plein en tant qu’enseignante au troisième cycle du primaire. En 2021, elle a joint l’équipe de l’Université du Québec à Trois-Rivières où elle est maintenant professeure en didactique des mathématiques. Marie-Pier s’intéresse principalement au développement de la compétence à résoudre des problèmes chez les élèves du primaire et aux pratiques d’enseignement en lien avec l’activité de résolution de problèmes.

Frédérique Halliday, M.Éd., a d’abord étudié au baccalauréat en éducation préscolaire et enseignement primaire à l’Université de Montréal où elle a gradué en 2017. Elle a pratiqué le métier d'enseignante au primaire depuis sa graduation dans différents Centre de services. Elle a ensuite obtenu sa maîtrise en sciences de l'éducation profil développement professionnel en 2022 à l'UQO. Depuis, elle est doctorante en éducation à l’UQO et chargée de cours au programme BEPEP à l'UQO au Campus de St-Jérôme et de Gatineau. Ses travaux portent sur les approches en enseignement-apprentissage de la lecture littéraire, sur les pratiques enseignantes en lien avec la gestion de la classe, sur la pratique réflexive et sur le développement professionnel des enseignantes au primaire.

Daphné Hommery-Boucher, doctorante en éducation à l’Université du Québec à Montréal (UQAM), détient une maîtrise et un baccalauréat en ergothérapie. Elle travaille comme chargée de cours en développement moteur de l’enfant à l’UQAM. Ses intérêts de recherche portent sur les mesures visant à favoriser l’autorégulation des enfants, l’intervention en milieu scolaire, le développement de l’enfant et l’accompagnement des intervenant·es scolaires.

Elisabeth Hould est professeure en didactique et pratiques pédagogiques au Département de danse de l’Université du Québec à Montréal. Bachelière en enseignement de la danse et titulaire d’un diplôme de maîtrise en didactique, elle a enseigné la danse dans différentes écoles primaires de la région montréalaise et présidé l’Association québécoise des enseignants de la danse à l’école (AQEDÉ) de 2016 à 2020. Poursuivant des études doctorales en éducation, elle s’intéresse au transfert des connaissances issues de la recherche sur les mécanismes cognitifs et cérébraux liés à l’apprentissage dans le contexte de l’enseignement de la danse.

Elisabeth Jacob est professeure en éducation préscolaire au Département des sciences de l’éducation à l’Université du Québec à Chicoutimi et trésorière à l’Organisation mondiale de l’éducation préscolaire (OMEP)-Canada. Elle s’intéresse au jeu, notamment le jeu symbolique et les jeux en nature, comme contexte d’apprentissage, de développement et de transmission des savoirs autochtones. Elle collabore avec des enseignantes autochtones et allochtones pour nourrir des réflexions sur les pratiques enseignantes à l’éducation préscolaire. Elle a codirigé l’ouvrage L’éducation préscolaire au Québec : fondements théoriques et pédagogiques, publié aux Presses de l’Université du Québec en 2021.

Audrey Lachance est étudiante au doctorat en éducation et chargée de cours au Département des sciences de l’éducation à l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR). Elle est membre étudiante du Laboratoire international sur l’inclusion scolaire (LISIS) et du Réseau de recherche et de valorisation de la recherche sur le bien-être et la réussite en contexte de diversité (RÉVERBÈRE). Ses intérêts de recherche portent sur l’éducation inclusive et les pratiques évaluatives cohérentes avec une telle vision de l’éducation. 

Julie Lachapelle, Ph. D., est agente de recherche à l’Université du Québec à Montréal. Elle collabore avec l’Équipe de recherche Qualité des contextes éducatifs de la petite enfance. Ses travaux de recherche portent sur la qualité des pratiques enseignantes au regard du langage oral et écrit en maternelle 4 ans et 5 ans et sur l’engagement des enfants en classe dans les situations de développement et d’apprentissage. Par ailleurs, elle contribue à la formation initiale des enseignants comme chargée de cours et comme enseignante-associée à l'éducation préscolaire 5 ans auprès de stagiaires du baccalauréat en éducation préscolaire et enseignement primaire.

Catherine Lanaris est professeure titulaire (fondements en éducation) et chercheuse au Département des sciences de l’éducation de l’UQO (campus de Saint-Jérôme). Elle détient un doctorat en psychopédagogie de l’Université de Montréal. Ses activités de recherche et d’enseignement s’articulent autour des pratiques inclusives et bienfaisantes ainsi que des méthodes de recherche qualitatives. Elle a été responsable du programme de doctorat-réseau en éducation à l’UQO entre mai 2018 et mai 2024 et elle intervient régulièrement au programme en tant que responsable du séminaire DME 9001. Elle a coédité un récent ouvrage intitulé « Pour une autorité éducative bienfaisante à l’éducation préscolaire » (JFD éditions).

Rakia Laroui est professeure titulaire à l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) au campus de Lévis. Elle est détentrice d’un doctorat en sciences de l’éducation de l’université Laval. Ses travaux portent sur la didactique du français ainsi que sur les rapports aux savoirs et sur le numérique en éducation Elle est membre du comité scientifique de plusieurs revues en éducation Elle est aussi chercheure au Laboratoire de Littératie illustrée (Limier) et au CTREQ. Elle a été directrice du groupe institutionnel de recherche en éducation sur Apprentissage et Socialisation à l’UQAR (APPSO) et directrice du comité de programmes des cycles supérieurs en éducation. Elle a dirigé ou codirigé des ouvrages dont « Le chercheur face aux défis méthodologiques de la recherche (2017) », « Rapport aux savoirs et sens des études dans l’enseignement supérieur pour des étudiants à l’échelle internationale (2019) », « Savoirs et environnements numériques, innovations, mutations et consolidations dans les échanges universitaires (2022) ».

Gabriel Lecompte est étudiant au doctorat en éducation à l’Université du Québec à Trois-Rivières. Ses travaux se penchent sur divers aspects de la compétence du numérique dans le cadre de l’enseignement des sciences et de la technologie. Dans son projet de maitrise, il s’est intéressé à la façon dont les élèves du secondaire jugent s’ils peuvent avoir confiance en une information scientifique trouvée en ligne. Pour son doctorat, il vise à développer une situation pédagogique de la programmation informatique en science et technologie qui s’appuie sur la notion de modélisation scientifique pour arrimer ces deux disciplines.

Andrée Lessard est professeure en évaluation-intervention orthopédagogique au Département des sciences de l’éducation de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR). Ses recherches se regroupent en deux champs étroitement reliés : 1) l’enseignement de la littératie dans une perspective interdisciplinaire (littératie-musique) auprès d’apprenants qui présentent des difficultés d’apprentissage ou non ; 2) l’évaluation-intervention orthopédagogique en lecture-écriture. Ses recherches portent sur les approches non conventionnelles d’intervention ou d’enseignement de littératie, en particulier celles qui incluent la musique. Elle s’intéresse à la pédagogie musicale Orff. Ses projets abordent aussi le développement des connaissances chez des futurs orthopédagogues (lecture-écriture et fonctions exécutives).

Jean-Yves Lévesque est professeur associé à l’Unité départementale des Sciences de l’Éducation à l’Université du Québec à Rimouski. Au cours de sa carrière, il s’est intéressé dans ses recherches notamment au lire-écrire chez les enfants au préscolaire, au primaire, au début du secondaire et chez les adultes peu alphabétisés, ainsi qu’à la persévérance scolaire en relation avec les compétences en littératie. Il a publié plusieurs articles scientifiques et vulgarisés de même que divers ouvrages utiles aux praticiens dont On découvre l’écrit, je t’aide pour la vie et La lecture et l’écriture : pour que les garçons s’y intéressent.

Krasimira   Marinova   est   professeure   titulaire   en   intervention   éducative   au préscolaire  à  l’Unité  d’enseignement  et  de  recherche  en  sciences  de  l’éducation  de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue. Elle s’intéresse au rôle du jeu dans le  développement  de  l’enfant,  au  lien  entre  le  jeu  et  l’apprentissage  ainsi  qu’à  la compétence ludique des enseignantes à l’éducation préscolaire.

Line Massé, psychoéducatrice, détient un baccalauréat en orthopédagogie ainsi qu’une maîtrise et un doctorat en psychologie de l’éducation. Professeure titulaire au Département de psychoéducation de l’Université du Québec à Trois-Rivières, ses travaux de recherche portent notamment sur l’adaptation psychosociale et scolaire des élèves doués et celle des élèves présentant des difficultés comportementales ainsi que sur le développement de programmes d’intervention à leur intention, que ce soit l’intervention directe auprès des élèves, l’accompagnement des enseignants ou les programmes d’habiletés parentales.

Sophie McMullin est étudiante au doctorat en éducation à l’Université du Québec à Montréal. Elle s’intéresse aux processus cognitifs et cérébraux en jeu dans l’apprentissage. Ses intérêts de recherche au doctorat sont particulièrement orientés vers une meilleure compréhension de l’impact de la charge cognitive dans des apprentissages sources d’erreurs fréquentes et persistantes chez les apprenant·e·s. Elle exerce aussi des fonctions d’assistantes de recherche au sein de plusieurs équipes de recherche, notamment le Laboratoire de recherche en neuroéducation (LRN) et l’Équipe de recherche en science et technologie (EREST).

Geneviève Messier est professeure régulière au département de didactique à l’Université du Québec à Montréal. Elle mène des recherches dans le champ de la littératie universitaire (compétence à communiquer oralement dans la formation initiale à l’enseignement), de la formation pratique (planification de l’enseignement lors des stages en enseignement au secondaire) et de la didactique de l’oral (lien entre la didactique de l’oral et la gestion de la classe au primaire). Elle s’intéresse également aux théories, modèles et concepts associés à la didactique. Elle est membre de différents groupes de recherche (CRIFPE, RUSE, LUDDES, ÉRLI).

Riche d’expériences multidisciplinaires, Sophie Nadeau-Tremblay a enseigné au primaire pendant 20 ans avant de coordonner les activités pédagogiques à l'École en réseau depuis 5 ans. Chargée de cours depuis 2008 au département des sciences de l'éducation de l'UQAC, sa maîtrise a porté sur le développement de la compétence en lecture en classe multiâge. Candidate au doctorat, elle s’intéresse à l’accompagnement et au développement professionnel des personnes enseignantes intégrant la pédagogie de coélaboration des connaissances.

Raymond Nolin M. A. est doctorant en sciences de l’éducation à l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue et, depuis juin 2023, professeur de didactique des mathématiques au primaire à l’Université du Québec à Trois-Rivières. Ses champs d’intérêt professionnels concernent le développement des compétences en numératie, la didactique des mathématiques, le développement de la pensée mathématique à l’éducation préscolaire et au primaire, le jeu symbolique comme contexte de développement à l’âge préscolaire ainsi que les compétences professionnelles liées à l’enseignement et à l’apprentissage de la mathématique des personnes étudiantes en enseignement et du personnel enseignant.

Cassandre Ouellet obtient son diplôme en enseignement en éducation physique et à la santé (EPS) à l’Université de Sherbrooke en 2018. Elle effectue ensuite sa maîtrise en kinanthropologie à l’UQAM (2018-2020) qui porte sur la motivation d’élèves du secondaire en EPS dans des tâches d’apprentissages en coopération différenciées. Elle commence son doctorat en éducation à l’automne 2020 et son projet s’intéresse au développement des pratiques de différenciation pédagogique chez les personnes étudiantes en formation initiale en EPS. Elle est aussi auxiliaire de recherche et chargée de cours en différenciation pédagogique en EPS.

Sébastien Ouellet est professeur en didactique du français à l’Université du Québec à Rimouski. Son travail porte notamment sur la littératie communautaire dans un contexte rural, entre autres par le biais d’une recherche qui le mène à analyser l’implantation d’une médiathèque lors de la transformation d’une église patrimoniale. Au moyen de la recherche-développement et de l’étude de cas, ses travaux portent également sur le développement de dispositifs didactiques et l’utilisation de la bande dessinée auprès des élèves en difficulté.sur la didactique du français, la lecture littéraire et le sujet lecteur, notamment sur le rôle de la littératie médiatique multimodale dans l’apprentissage du français.

Noémie Paquette est doctorante en éducation à l’Université du Québec en Outaouais et professeure au département des sciences de l’éducation à l’Université du Québec à Trois-Rivières. Elle s’intéresse à la petite enfance et à l’éducation préscolaire. Ses travaux portent sur les pratiques éducatives des enseignantes à l’éducation préscolaire, particulièrement en lien avec le développement socioémotionnel des enfants, les pratiques d’autorité et les compétences socioémotionnelles des personnes éducatrices et enseignantes.

Patrice Potvin est professeur en didactique des sciences à la Faculté des sciences de l'éducation de l'Université du Québec à Montréal (UQAM) depuis 20 ans. Directeur de l’Équipe de recherche en éducation scientifique et technologique (EREST) depuis 16 ans, ses recherches portent sur l’intérêt des élèves à l’égard des sciences, l'apprentissage des sciences en contexte ouvert, la formation des enseignants, ainsi que le changement conceptuel selon une approche neuroéducative (contrôle inhibiteur et engagement). Auteur de plus de 470 publications et communications, il est également fondateur et directeur de la revue « Didactique », mise sur pied en 2019.

Thomas Rajotte est professeur en didactique et orthopédagogie des mathématiques au campus de Lévis de l’UQAR. Ce chercheur est membre du Centre de recherche interuniversitaire sur la formation et la profession enseignante (CRIFPE) et de l’équipe de recherche institutionnelle ÉDUQAR. M. Rajotte est aussi associé au Réseau de recherche et de valorisation de la recherche sur le bien-être et la réussite (RÉVERBÈRE). Ses champs de recherche portent sur la résolution de problèmes, les difficultés d’apprentissage en mathématiques et la pédagogie par le jeu.

Camille Robitaille est étudiante au doctorat en éducation à l’Université du Québec à Trois-Rivières. Elle détient un baccalauréat en enseignement en adaptation scolaire et une maitrise en fondements et environnements de l’éducation. Ses principaux intérêts de recherche sont les collaborations école-famille-communauté, les contextes éducatifs pour les enfants de 4 et 5 ans et les enfants présentant des besoins considérés particuliers. Elle fait partie de l’équipe de recherche Réussite éducative et pédagogie inclusive (RÉPI) et elle est affiliée au Centre de recherche interuniversitaire sur la formation et la profession enseignante (CRFIPE).

Caroline St-Jacques est titulaire d’une maîtrise en psychologie de l’Université de Montréal ainsi que d’un certificat en initiation à la rédaction professionnelle et d’un certificat en traduction de l’Université du Québec en Outaouais (UQO). Elle enseigne la psychologie au collégial depuis 1997 et est chargée de cours en Sciences de l’éducation à l’UQO, où elle enseigne la psychologie du développement. Dans le cadre de ses études doctorales en sciences de l'éducation à l'UQO, elle s’intéresse particulièrement à l’insertion professionnelle des personnes enseignantes en situation de handicap. Elle a collaboré à l’adaptation des deux éditions de Communiquer et interagir de Gamble et Gamble publiées en 2011 (Prix du Ministre) et 2016 chez Chenelière Éducation.

Charlaine St-Jean est professeure et chercheuse au département des sciences de l’éducation de l’Université du Québec à Rimouski. Elle enseigne au premier cycle des programmes en formation initiale des maîtres, les cours spécifiques à l’éducation préscolaire. Aux cycles supérieurs, elle dispense des cours de méthodologie de recherche quantitative et anime des séminaires de recherche pour les étudiants de maîtrise et de doctorat. Ses récents travaux de recherche explorent des thématiques telles que l’éveil aux mathématiques, le sentiment d’autoefficacité et l’accompagnement des enseignants dans ces domaines. Elle est également co-éditrice du livre "L’éveil aux mathématiques à l’éducation préscolaire et au premier cycle du primaire", publié en 2023 chez les éditions JFD.

Claudia Verret, docteure en sciences de l’activité physique, est professeure titulaire au Département des sciences de l’activité physique de l’Université du Québec à Montréal. Elle compte plus de 10 ans d’expérience en enseignement de l’éducation physique adaptée auprès d’enfants ayant des difficultés comportementales. Ses intérêts de recherche portent principalement sur l'inclusion scolaire en éducation physique et à la santé ainsi que sur les interventions adaptées pour soutenir l'adaptation sociale et émotionnelle des élèves présentant des besoins particuliers. Elle s'intéresse particulièrement aux élèves présentant des difficultés de comportement ou ceux ayant un trouble du déficit de l'attention avec hyperactivité.

Mylène Vézina est étudiante de 3e cycle au doctorat réseau UQ dans le domaine de la gestion de classe à l’Université du Québec à Rimouski (campus de Rimouski). Elle est étudiante-chercheuse notamment au Centre de recherche interuniversitaire sur la formation et la profession enseignante (CRIFPE) ainsi qu’au sein de l’équipe de recherche en sciences de l’éducation de l’UQAR (EDUQAR). Ses intérêts de recherche portent particulièrement sur la compétence relationnelle en milieu pédagogique ainsi que sur la méthodologie de l’entretien d’explicitation de Vermersch.

Titulaire d’un doctorat en didactique des mathématiques obtenu à l’Université Laval, Dominic Voyer est professeur en didactique des mathématiques à l’Université du Québec à Rimouski, campus de Lévis. Il est codirecteur du Réseau de recherche et de valorisation de la recherche sur le bien-être et la réussite (RÉVERBÈRE) et chercheur au Laboratoire sur la recherche-développement au service de la diversité (Lab-RD2). Il s’intéresse au développement des compétences en numératie chez les jeunes élèves et notamment à la résolution de problèmes mathématiques.