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Il vous faut revoir la règle du participe passé des verbes impersonnels.

Vous savez que le participe passé des verbes impersonnels est toujours invariable. Rappelez-vous : Nous sommes en présence d'un verbe impersonnel lorsque nous ne pouvons pas remplacer le pronom personnel ' il ' qui le précède par un nom propre. Dans cette phrase, nous ne pourrions dire ni écrire : ' Toutes les journées que Paul a plu, elle restait à la maison '.

L'expression ' échapper belle ', tout comme les expressions ' la manquer belle ', ' la manquer bonne ', ' la bailler belle ', ' la bailler bonne ', est une expression qui, selon certains grammairiens, forme un tout non décomposable.

Le participe passé est alors invariable.

Il vous faut revoir la règle d'accord des participes passés employés avec l'auxiliaire ' avoir ' dans les locutions ' la manquer belle ', ' la manquer bonne ', ' la bailler belle ', ' la bailler bonne '.

Comme le participe passé ' y compris ' suit le nom auquel il se rapporte, soit ' les notes de bas de page ', il s'accorde en genre et en nombre avec ce dernier, soit ' notes ' (féminin pluriel).

Il vous faut revoir les règles d'accord du participe passé de la locution ' y compris '.

Dans ce contexte, le verbe ' coûter ' présente un sens figuré, le complément répond à la question ' quoi ' et non pas la question ' combien '.

Cela aurait été un sens propre (question ' combien ') s'il avait été question d'argent et qu'un nombre ou un chiffre avait précédé le participe passé.

Dans le cas d'un sens figuré (question ' quoi '), le participe passé doit s'accorder avec le complément direct s'il précède le participe passé.

Ici, le complément direct du verbe ' coûter ' est le pronom relatif ' que ', qui représente ' les peines '. Comme le complément direct précède le participe passé ' coûté ', le participe passé s'accorde en genre et en nombre avec l'antécédent du complément direct ' que ', soit ' les peines ' (féminin pluriel).

Vous semblez bien maîtriser les règles d'accord du participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir '… et toutes ses particularités. Continuez de bien étudier.

Vous devez sans doute déjà connaître la définition du verbe ' s'arroger ', qui signifie ' se donner des droits auxquels on n'a pas droit '.

Vous deviez également déjà savoir que le verbe ' s'arroger ' est le seul verbe essentiellement pronominal qui ne s'accorde pas avec son sujet, mais qui s'accorde plutôt avec le complément direct si ce dernier est placé avant le participe passé. Dans cet exemple, le complément direct ' tous les droits ' suit le participe passé. Ce dernier demeure donc invariable.

Il faut savoir que le verbe ' s'arroger ' est le seul verbe essentiellement pronominal qui, au lieu de s'accorder avec son sujet, s'accorde avec le complément direct si ce dernier est placé avant le participe passé. Dans cette phrase, le complément direct ' tous les droits ' suit le participe passé. Ce dernier demeure donc invariable.

Dans cette phrase, il y a un participe passé employé sans auxiliaire – communément appelé ' participe passé employé seul '.

Ce type de participe passé s'accorde comme un adjectif, soit en genre (masculin ou féminin) et en nombre (singulier ou pluriel) avec le mot auquel il se rapporte.

Ici, le participe passé du verbe ' commettre ' se rapporte au mot ' erreurs ' (féminin pluriel).

Vous semblez bien maîtriser la règle d'accord du participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir '… et toutes ses particularités. Continuez de bien étudier.

Il y a bien ici un participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir '. Normalement, le participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir ' s'accorde en genre et en nombre avec le complément direct si ce dernier est placé avant le participe passé.

Dans cette phrase, quel est le complément direct?

Posons la question : ' j'avais imaginé quoi? ' = ' que l'inondation serait moins dévastatrice que ce qu'elle a été '.

Comme nous avons répondu par une proposition complète, le participe passé demeure invariable. À la question ' j'avais imaginé quoi? ', nous n'aurions pas pu répondre seulement ' l'inondation '. La réponse n'aurait pas été complète.

De plus, avez-vous remarqué que nous n'avons pas utilisé le même adverbe comparatif lorsque nous avons répondu à la question… Dans la phrase originale, il y est écrit 'plus ', tandis que dans la réponse, nous avons utilisé ' moins '.

Le verbe ' s'évanouir ' est un verbe essentiellement pronominal, n'est-ce pas? Comment accorde-t-on un participe passé essentiellement pronominal? Avec son sujet.

Nous devons poser la question suivante : ' Qui est-ce qui s'est évanoui? ' = les deux ouvriers (masculin pluriel). Le participe passé s'accorde donc au masculin pluriel.

S'il est vrai que la grammaire traditionnelle dit que les verbes essentiellement pronominaux s'accordent en genre et en nombre avec leur sujet, l'accord se fait plutôt avec le pronom personnel ' se ', intégré de façon permanente au verbe, qui joue le rôle de conduit de l'accord du participe passé.

Vous savez que le participe passé d'un verbe essentiellement pronominal s'accorde en genre (masculin ou féminin) et en nombre (singulier ou pluriel) avec son sujet. Continuez de bien étudier.

S'il est vrai que la grammaire traditionnelle dit que les verbes essentiellement pronominaux s'accordent en genre et en nombre avec leur sujet, l'accord se fait plutôt avec le pronom personnel ' se ', intégré de façon permanente au verbe, qui joue le rôle de conduit de l'accord du participe passé.

Vous avez remarqué qu'il s'agissait d'un participe passé pronominal suivi d'un infinitif. Comme ce n'est pas ' elle ' (le complément direct du verbe ' vu ') qui fait l'action de se dépouiller de tous ses biens, le participe passé ' vu ' demeure donc invariable.

En analyse plus profonde, ' Elle s'est vu dépouiller de tous ses biens ' = ' Elle a vu qu'on l'avait dépouillée des tous ses biens ', et ' ...qu'on l'avait dépouillée...' joue le rôle de complément direct.

Elle a vu quoi?, qu'on l'avait dépouillée...donc on ne fait pas l'accord du participe passé.

Il vous faut revoir la règle du participe passé pronominal suivi d'un infinitif. Ne vous découragez pas...

Il y a ici un participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir ' et suivi d'un infinitif.

Comme le complément direct ' méthode ' ne fait pas l'action exprimée par l'infinitif, le participe passé doit rester invariable.

Posons la question : ' il a préféré quoi? ' = suivre la méthode. Comme le complément direct du participe passé ' préféré ' est introduit par le verbe à l'infinitif ' suivre ' qui suit le participe passé, ce dernier est invariable.

Il s'agit bien ici d'un participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir ' suivi d'un verbe à l'infinitif.

Révisez la règle de l'accord du participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir ' et suivi de l'infinitif.

Le verbe ' se taire ' est un verbe accidentellement pronominal – communément appelé un verbe pronominal réfléchi, qui s'accorde avec le complément direct si ce dernier est placé avant le participe passé.

' Ils ont tu qui? ' = ' Ils ont tu se '. ' Se ' remplace le pronom personnel sujet ' Ils '. Le participe passé du verbe ' se taire ' doit donc être accordé au masculin pluriel.

Il s'agit bien d'un participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir '.

Toutefois, cette phrase présente une particularité. Le verbe ' marcher ' est accompagné d'un complément circonstanciel, et non d'un complément direct.

Nous ne poserons pas la question ' elle a marché quoi? ', mais plutôt ' elle a marché combien de minutes? '.

Dans cette phrase, le participe passé ' marché ' est utilisé au sens propre et doit demeurer invariable parce qu'il n'est pas accompagné d'un complément direct, mais plutôt d'un complément circonstanciel, et ce, parce que nous avons répondu à la question ' combien ', et non à la question ' quoi '.

Vous ne vous êtes pas fait prendre au piège.

Vous avez bien vu que, dans cette phrase, le participe passé ' marché ' employé avec l'auxiliaire ' avoir ' était utilisé au sens propre et que, par conséquent, il devait demeurer invariable parce qu'on doit répondre à la question ' combien ' (qui introduit un complément circonstanciel), et non à la question ' quoi ' (qui introduit un complément direct).

Il s'agit ici d'un participe passé employé avec un verbe ' attributif ' - communément appelé ' verbe d'état ' ou ' verbe copule ' selon la grammaire traditionnelle.

les verbes attributifs sont ' être ', ' paraître ', ' sembler ', ' devenir ', ' rester ', ' avoir l'air ', ' naître ', ' mourir ', etc.

Le participe passé employé avec un verbe attributif s'accorde avec le sujet.

ATTENTION! Tout verbe peut être employé momentanément dans une phrase comme verbe attributif :

' Elles chantaient heureuses dans les couloirs après leur examen. ' Ici, le verbe ' chanter ' équivaut à un verbe attributif comme ' sembler, ' paraître '.

Donc la liste des verbes attributifs peut être bien plus longue que ce que la grammaire traditionnelle nous dit...

Il vous faut revoir la règle du participe passé employé avec l'auxiliaire ' être ' ou avec un verbe attributif. Révisez encore les exercices.

Il vous faut revoir la règle du participe passé précédé d'un adverbe de quantité ou d'une locution de quantité, comme ' assez de ', ' autant de ', ' beaucoup de ', bien de ', ' combien de ', ' moins de ', etc.

Comme le complément de l'adverbe de quantité, dans ce cas-ci ' personnes ' suit la locution de quantité ' combien de ', le participe passé demeure invariable.

Toutefois, si la phrase avait été ' Combien de personnes as-tu aidées? ', l'accord du participe passé aurait été différent.

En effet, comme le complément direct ' de personnes ' est placé avant le participe passé, ce dernier aurait été accordé au féminin pluriel.

Avez-vous posé la question correctement?

Auriez-vous posé la question suivante : ' il a fait aiguiser quoi? '?

Dans l'affirmative, la question n'est pas posée correctement. N'oubliez pas que la question ' qui ' ou ' quoi ' doit suivre immédiatement le participe passé.

Il aurait fallu poser la question suivante : ' Il a fait quoi? ' = aiguiser les couteaux.

Comme le complément direct est introduit par le verbe à l'infinitif qui suit le participe passé, ce dernier demeure invariable. N'oubliez pas : Le participe passé ' fait ' employé avec l'auxiliaire ' avoir ' et suivi d'un verbe à l'infinitif est toujours invariable parce que le complément direct est toujours introduit par le verbe à l'infinitif qui suit le participe passé.

En d'autres mots, les couteaux ne font pas l'action d'aiguiser, donc le participe passé reste invariable.

Le participe passé ' fait ' employé avec l'auxiliaire ' avoir ' et suivi d'un infinitif est invariable parce que le complément direct est toujours introduit par le verbe à l'infinitif qui suit le participe passé ' fait '. Si nous posons la question : ' il a fait quoi? ', nous devons répondre ' aiguiser les couteaux '. Le complément direct est introduit par le verbe à l'infinitif ' aiguiser ', lequel suit le participe passé ' fait '.

Vous savez que la locution verbale ' avoir l'air ' est un verbe attributif – communément appelé ' verbe d'état ' et ' verbe copule ' selon la grammaire traditionnelle - qui s'accorde avec son sujet.

Les verbes attributifs sont ' paraître ', ' sembler ', ' devenir ', ' rester ', ' avoir l'air ', ' naître ', ' mourir ', etc. Nous posons la question suivante : ' Qui a l'air attristé? ' = Elle (féminin, singulier). Le participe passé doit donc s'accorder au féminin singulier.

Toutefois, si la phrase avait été ' Elle a un air attristé, nous serions en présence d'un participe passé employé sans auxiliaire – communément appelé ' participe passé employé seul '. Le participe passé ' attristé ' se serait accordé en genre et en nombre avec le mot auquel il se rapporte, soit ' air ' (masculin singulier).

Dans ce dernier cas, le changement de ' le ' à ' un ' devant ' air ' fait toute la différence!

ATTENTION! Tout verbe peut être employé momentanément dans une phrase comme verbe attributif :

' Elles chantaient heureuses dans les couloirs après leur examen '.

Ici, le verbe ' chanter ' équivaut à un verbe attributif comme ' sembler, ' paraître '.

Donc la liste des verbes attributifs peut être bien plus longue que ce que la grammaire traditionnelle nous dit...

Pensiez-vous être en présence d'un participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir '? Dans l'affirmative, c'est une erreur. L'auxiliaire utilisé est ' avoir l'air ', soit une locution verbale attributive. Dans ce cas, comme c'est le cas du participe passé employé avec l'auxiliaire ' être ', le participe passé s'accorde avec son sujet.

Il vous faut revoir la règle d'accord des participes passés des verbes pronominaux de sens passif.

Comme des dialectes ne peuvent pas accomplir d'actions concrètes (ils subissent l'action sans l'accomplir), nous sommes en présence d'un participe passé d'un verbe pronominal de sens passif. Vous savez que ce type de participe passé s'accorde avec son sujet.

ATTENTION! Il existe un autre verbe ' parler ', le verbe ' parler à quelqu'un ', qui n'a jamais de complément direct, seulement un complément indirect, et donc le participe passé de ce verbe reste toujours invariable...

' Les étudiantes se sont parlé pendant les manifestations dans les rues '.

Le mot ' en ' figure bien devant le participe passé, mais il n'a pas fonction de complément direct, seulement complément indirect dans cette phrase.

Lorsque l'on pose la question ' il a donné quoi? ', on obtient comme réponse ' la description des fleurs '. Le participe passé s'accorde donc avec le mot 'qu' ', qui renvoie à ' description ' (féminin singulier).

UNTRUC FACILE POUR LE CAS DU EN: si vous pouvez supprimer le ' en ', vous pouvez faire l'accord avec le complément direct. Si vous ne pouvez pas supprimer le ' en ', vous ne pouvez pas faire l'accord avec le ' en '.

Vous avez su poser la question correctement : ' il a donné quoi? ' = 'qu'?' = ' la description des fleurs.

L'accord doit se faire avec le mot ' description ' (féminin singulier).

Dans cette phrase, le pronom personnel ' en ' fait fonction de complément indirect. Pour obtenir comme réponse le pronom personnel ' en ', nous devons répondre à la question ' de quoi '.

Posons maintenant la question : ' Il a fait la description de quoi? = en (qui représente ' des fleurs ').

C'est le cas du participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir ' et suivi d'un verbe à l'infinitif.

À la question ' elle a prétendu quoi? ', vous avez répondu 'respecter la règle de politesse '. Comme le complément direct est introduit par le verbe à l'infinitif qui suit immédiatement le participe passé, ce dernier demeure invariable.

En d'autres mots, la règle de politesse ne fait pas l'action de respecter, donc on ne doit pas faire l'accord du participe passé.

Vous avez peut-être lu la phrase trop rapidement et pensé qu'il s'agissait d'un participe passé employé avec l'auxiliaire ' être ', mais il s'agit plutôt d'un participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir ' et suivi d'un verbe à l'infinitif. Continuez à revoir les règles en question.

Il s'agit bien d'un participe passé employé avec l'auxiliaire ' être ', lequel s'accorde en genre et en nombre avec son sujet.

Toutefois, nous sommes en présence d'un sujet particulier : plus d'un.

Il faut se rappeler que lorsque le sujet est ' plus d'un ', l'accord du verbe doit se faire avec ' un '.

Sachez également que lorsque le sujet est ' moins de deux ', l'accord doit se faire avec ' deux ' – pluriel.

Voici un exemple : Moins de deux invités sont venus.

Cela ne semble pas très logique, en effet, mais c'est la logique grammaticale…ah là là...

Il vous faut revoir la règle du participe passé des verbes pronominaux réfléchis.

C'est bien ici le cas du participe passé pronominal réfléchi.

Le participe passé doit s'accorder avec le complément direct si ce dernier précède le participe passé.

À la question ' elles ont servi qui? ', nous répondons ' se ', qui représente le pronom personnel sujet ' elles '.

Le pronom personnel ' se ' fait alors fonction de complément direct et représente le pronom personnel ' elles ', soit son antécédent.

Le participe passé s'accorde donc au féminin pluriel.

Vous avez sans doute pensé que le complément direct était ' vos peintures ' (qui suit le participe passé).

Vous n'avez pas tout à fait tort, mais c'est le pronom personnel ' les ' qui est le premier complément direct. ' Vos peintures ' n'est qu'un antécédent, qui joue le rôle d'explication du complément direct ' les '.

N'oubliez pas : Concernant l'accord du participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir ', il est important que le complément direct soit placé avant le participe passé pour qu'il y ait accord; cependant, que l'antécédent soit avant ou après le participe passé, cela n'a pas d'importance.

On pose donc la question comme suit : ' Le jury n'a pas encore examiné quoi? ' = ' les ', qui représente ' vos peintures ' (antécédent). Comme ' peintures ' est féminin pluriel, le participe passé ' examiné ' s'accorde au féminin pluriel.

Vous semblez bien maîtriser l'accord du participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir '… et toutes ses particularités. Continuez de bien étudier.

Vous avez sans doute pensé qu'il s'agissait d'un participe passé employé avec l'auxiliaire ' être ' et vous auriez posé la question suivante : ' Qu'est-ce qui est tombé? '.

Il s'agit plutôt du participe passé d'un verbe impersonnel.

Le participe passé d'un verbe impersonnel est toujours invariable. Il s'agit d'un verbe impersonnel lorsque l'on ne peut pas remplacer le pronom personnel ' il ' par un nom propre.

Dans cette phrase, on pourrait ni dire ni écrire : ' Jean est tombé beaucoup de neige l'hiver dernier '.

C'est donc bien un verbe impersonnel… et le participe passé d'un verbe impersonnel est toujours invariable.

Vous avez posé la question correctement, comme suit : ' ce fonctionnaire avait dressé quoi? ' = le pronom relatif ' que ', qui représente ' la liste '.

Puisque le complément direct ' que ' est placé avant le participe passé, l'accord du participe passé se fait avec l'antécédent du pronom relatif ' que ', qui est ' la liste ', féminin singulier.

Vous avez lu trop rapidement. Auriez-vous posé la question incorrectement : ' la liste qu'avait dressé quoi? '?

N'oubliez pas : Il faut toujours poser la question en commençant avec le sujet.

Dans cette phrase, l'ordre normal de la phrase est inversé. On y voit d'abord le complément direct ' la liste '; ensuite, le sujet ' ce fonctionnaire '.

Nous devons poser la question comme suit : ' Le fonctionnaire avait dressé quoi? ' = ' que ', qui représente ' la liste ' (féminin singulier).

Vous devez vous rappeler que le verbe ' s'apercevoir ' est un verbe pronominal sans fonction logique – communément appelé ' subjectif ', qui s'accorde toujours avec son sujet.

S'il est vrai que la grammaire traditionnelle dit que les verbes pronominaux sans fonction logique (subjectifs) s'accordent en genre et en nombre avec leur sujet, l'accord se fait plutôt avec le pronom personnel ' se ', intégré de façon permanente au verbe, qui joue le rôle de conduit de l'accord du participe passé.

Vous vous êtes souvenu que le verbe pronominal ' s'apercevoir ' fait partie des verbes pronominaux sans fonction logique – communément appelés ' subjectifs ', qui s'accordent toujours avec leur sujet.

Nous posons alors la question ' qui est-ce qui? ' avant le participe passé.

Dans cette phrase, on pose la question comme suit : ' Qui est-ce qui s'est aperçu? ' = Elle (féminin singulier).

S'il est vrai que la grammaire traditionnelle dit que les verbes pronominaux sans fonction logique (subjectifs) s'accordent en genre et en nombre avec leur sujet, l'accord se fait plutôt avec le pronom personnel ' se ', intégré de façon permanente au verbe, qui joue le rôle de conduit de l'accord du participe passé.

REMARQUE : Le segment '...qu'il la regardait. ' joue le rôle de complément indirect, même s'il commence par 'qu' ' . Cela équivaut à ' Elle s'est aperçue de son regard.'

Il vous faut revoir la règle d'accord des participes passés des verbes essentiellement pronominaux.

Le verbe ' se souvenir ' est un verbe essentiellement pronominal, qui s'accorde avec son sujet.

Dans cette phrase, nous poserons la question ' Qui est-ce qui s'est souvenu? ' = Elle (féminin singulier).

S'il est vrai que la grammaire traditionnelle dit que les verbes essentiellement pronominaux s'accordent en genre et en nombre avec leur sujet, l'accord se fait plutôt avec le pronom personnel ' se ', intégré de façon permanente au verbe, qui joue le rôle de conduit de l'accord du participe passé.

Regardez bien l'auxiliaire ' être '. Il est bien au singulier, n'est-ce pas? Le participe passé le sera également.

Il faut savoir que le sujet ' monde ' commande l'accord du verbe au singulier, et ce, même s'il y a toujours plus qu'une personne lorsqu'il y a du monde.

Toutefois, si on remplaçait le mot ' monde ' par le mot ' personnes ', l'accord du verbe serait alors au pluriel. Voyez par vous-même : ' Beaucoup de personnes sont venues '.

Sans doute connaissiez-vous déjà la règle d'accord des verbes qui accompagnent le sujet ' monde '…

Il vous faut revoir la règle du participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir ' dont le complément direct est la locution de quantité ' le peu de '.

Vous vous souveniez sans aucun doute de la règle d'accord du participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir ' et dont le complément direct est la locution de quantité ' le peu de '.

Sens positif de la phrase, donc accord avec le mot qui suit ' le peu de '.

Le participe passé du verbe ' falloir ' demeure toujours invariable parce que le verbe ' falloir ' est toujours et seulement un verbe impersonnel.

Le participe passé des verbes impersonnels est toujours invariable.

Rappelez vous : Il s'agit ici d'un verbe impersonnel lorsque l'on ne peut remplacer le pronom ' il ' qui précède le verbe par un nom propre.

Voyez par vous-même : Dans cette phrase, nous ne pouvons dire ni écrire : ' Les moyens que Claude a fallu ont été remarquables '.

Une révision de la règle d'accord du participe passé des verbes impersonnels s'impose…

Il s'agit d'un participe passé employé sans auxiliaire – communément appelé ' participe passé employé seul ', qui s'accorde comme un adjectif, c'est-à-dire en genre et en nombre avec le mot auquel il se rapporte.

On doit poser la question suivante : ' Qu'est-ce qui est examiné? ' = cette voiture.

Comme le mot ' voiture ' est féminin singulier, le participe passé du verbe ' examiner ' doit également être accordé au féminin singulier.

Vous avez remarqué qu'il s'agissait ici d'un participe passé employé sans auxiliaire mais, surtout, que le participe passé était détaché.

Voyons voir. Posons la question : ' Elle a eu quoi? ' = à verser la somme.

Attention : La réponse n'est pas seulement ' la somme '.

Comme le complément direct est introduit par la préposition ' à ' et le verbe à l'infinitif qui suivent immédiatement le participe passé, ce dernier demeure invariable.

Et remarquez aussi que la somme ne fait pas l'action de verser, donc accord du participe passé interdit...

Le verbe ' se moquer ' est un verbe pronominal sans fonction logique – communément appelé ' subjectif ', qui s'accorde avec son sujet. Meilleure chance la prochaine fois.

S'il est vrai que la grammaire traditionnelle dit que les verbes pronominaux sans fonction logique (subjectifs) s'accordent en genre et en nombre avec leur sujet, l'accord se fait plutôt avec le pronom personnel ' se ', intégré de façon permanente au verbe, qui joue le rôle de conduit de l'accord du participe passé.

S'il est vrai que la grammaire traditionnelle dit que les verbes pronominaux sans fonction logique (subjectifs) s'accordent en genre et en nombre avec leur sujet, l'accord se fait plutôt avec le pronom personnel ' se ', intégré de façon permanente au verbe, qui joue le rôle de conduit de l'accord du participe passé.

Même si nous sommes en présence d'un participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir ' ou, encore, en présence du pronom personnel ' en ', le gallicisme ' il y en a ' prévaut et a la valeur de l'auxiliaire ' être '. Le participe passé doit alors s'accorder avec le sujet, soit ' pâtisseries ' (féminin pluriel).

Vous ne vous êtes pas laissé prendre au piège par le gallicisme ' il y en a ', qui a la valeur de l'auxiliaire ' être ' — ' des pâtisseries, il en est qui sont cuites '. Dans ce cas, le participe passé s'accorde en genre et en nombre avec le sujet du participe passé.

Vous devez savoir que le verbe essentiellement pronominal ' s'arroger ' ne s'accorde pas avec le sujet, mais plutôt avec le complément direct si ce dernier est placé avant le participe passé.

Révisez encore la règle en question.

Vous maîtrisez bien la règle d'accord des verbes essentiellement pronominaux.

Vous vous souveniez que le verbe pronominal ' s'arroger ' est le seul verbe essentiellement pronominal qui, au lieu de s'accorder avec son sujet, s'accorde avec le complément direct si ce dernier est placé avant le participe passé.

Nous sommes bien en présence d'un participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir ', mais avez-vous posé la question correctement et avez-vous répondu correctement à la question?

Posons la question : ' Elle a raconté quoi? ' = ' les ', qui remplace ' Tous ses secrets '.

Comme le complément direct ' les ' précède le participe passé, ce dernier doit s'accorder avec l'antécédent du pronom personnel ' les ', soit ' les secrets ' (masculin pluriel).

Vous semblez bien maîtriser la règle du participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir '… et toutes ses particularités. Continuez de bien étudier.

Le verbe ' s' abstenir ' est un verbe essentiellement pronominal, qui s'accorde avec son sujet.

S'il est vrai que la grammaire traditionnelle dit que les verbes essentiellement pronominaux s'accordent en genre et en nombre avec leur sujet, l'accord se fait plutôt avec le pronom personnel ' se ', intégré de façon permanente au verbe, qui joue le rôle de conduit de l'accord du participe passé.

Il vous faut revoir la règle d'accord des verbes essentiellement pronominaux. Ne vous découragez pas. Continuez d'étudier.

Vous avez bien vu que c'était bien ici un participe passé qui n'avait pas de complément direct, mais plutôt un complément circonstanciel.

Vous devez poser la question suivante : ' Il a mesuré combien de mètres de tissu? ' = quatre mètres.

Le participe passé est donc invariable.

Il vous faut revoir la règle d'accord des participes passés qui ont un complément circonstanciel, et non un complément direct. Vous devriez retourner à la règle.

Il y a ici le participe passé ' fait ' employé avec l'auxiliaire ' avoir ' et suivi d'un verbe à l'infinitif, soit ' réparer '.

Il faut savoir que lorsque le participe passé ' fait ' est suivi d'un verbe à l'infinitif, le participe passé demeure invariable, et ce, parce que le complément direct est toujours introduit par le verbe à l'infinitif qui suit le participe passé.

Voyons voir. Posons la question : ' Il a fait quoi? ' = réparer la montre.

N'oubliez pas : La question ' quoi ' doit toujours suivre immédiatement le participe passé. Nous ne pouvons ajouter aucun autre mot.

Il aurait été fautif de poser la question ainsi : ' Il a fait réparer quoi? '.

Le participe passé ' fait ' employé avec l'auxiliaire ' avoir ' et suivi d'un verbe à l'infinitif est toujours invariable parce que le complément direct est toujours introduit par le verbe à l'infinitif qui suit le participe passé.

Posons la question : ' il a fait quoi? ' = réparer la montre.

Vous vous souvenez que la locution verbale ' se rendre compte ' est considérée comme une expression non décomposable et est toujours invariable.

Remarque : Le mot ' compte ', qui fait partie de l'expression, est en fait un complément direct intégré au verbe, donc le participe passé ne va pas s'accorder, puisque ce complément direct est toujours placé après le participe passé...

Il vous faut revoir la règle d'accord du participe passé ' laissé ' employé avec l'auxiliaire ' avoir ' et suivi d'un verbe à l'infinitif.

Si la grammaire traditionnelle prônait l'accord du participe passé ' laissé ' employé avec l'auxiliaire ' avoir ' et suivi d'un verbe à l'infinitif si le complément accomplit l'action exprimée par le verbe à l'infinitif, la nouvelle grammaire recommande l'invariabilité du participe passé ' laissé ' lorsqu'il est suivi d'un verbe à l'infinitif.

C'est le cas du participe passé ' fait ' suivi d'un verbe à l'infinitif, parce que le complément direct est introduit par le verbe à l'infinitif qui suit le participe passé.

Posons la question : ' elle a bien laissé quoi? ' = voir sa jalousie.

Vous le voyez : le complément direct est introduit par le verbe à l'infinitif ' voir ' qui suit immédiatement le participe passé.

Peut-être n'avez-vous pas remarqué qu'il s'agit ici d'un participe passé employé avec l'auxiliaire ' être '? Désolé, révisez la règle.

Nous sommes en présence d'un participe passé employé avec l'auxiliaire ' être ', qui s'accorde en genre et en nombre avec son sujet, dans ce cas-ci ' personnes ' (féminin pluriel). Continuez de bien étudier.

Vous avez bien posé la question : ' Elle a choisi quoi? Laquelle des deux robes. La personne n'a pas choisi les deux robes, mais bien seulement l'une d'entre elles, indiquée par le pronom laquelle.

Comme le complément direct précède le participe passé, ce dernier s'accorde.

Vous avez peut-être posé la question incorrectement.

Voyons voir. Posons la question : ' Elle a choisi quoi? ' = laquelle de ces robes (l'une des deux robes), et non les deux (féminin singulier).

Posons la question : ' Le feu a détruit quoi? ' = le tiers de la récolte, et non la récolte au complet.

Le participe passé doit donc s'accorder au masculin singulier puisque le mot ' tiers ' est un nom masculin singulier.

Vous avez peut-être posé la question incorrectement.

Voyons voir. Posons la question : ' Le feu a détruit quoi? ' = Non pas la récolte au complet, mais bien le tiers de la récolte. L'accord doit se faire avec ' le tiers ' (masculin singulier).

Posons la question : ' Il a laissé qui? ' = ' les ', qui représente ' les personnes '.

' Les personnes ' font-elles l'action de partir? Oui. Le participe passé s'accorde donc avec le complément direct ' personnes '.

Toutefois, sachez que, selon l'orthographe rectifiée, la règle préconise maintenant l'invariabilité du participe passé ' laissé ' employé avec l'auxiliaire ' avoir ' et suivi d'un verbe à l'infinitif, tout comme c'est le cas du participe passé ' fait ' employé avec l'auxiliaire ' avoir ' et suivi d'un verbe à l'infinitif.

Comme le complément direct suit le participe passé, ce dernier demeure invariable.

Nous aurions pu également accorder le participe passé. Voyons voir. Posons la question : ' Il a laissé qui? ' = ' les ', qui représente ' les personnes '.

' Les personnes ' font-elles l'action de partir? Oui. Le participe passé s'accorde donc avec le complément direct ' personnes '.

C'est bien ici un participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir '.

Lorsque l'on pose la question : ' Sa vie aurait pu quoi? ', on doit répondre ' être plus paisible '.

Comme le complément direct suit le participe passé ' pu ', ce dernier demeure invariable.

Sans doute avez-vous commis une erreur d'inattention. Essayez de nouveau.

Avez-vous remarqué que c'est le cas d'un participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir '?

Vous voyez le mot ' aurait '? Nous devons donc poser la question ' qui ' ou ' quoi ' après le participe passé afin de trouver le complément direct.

Posez maintenant la question : ' Sa vie aurait pu quoi? ' = ' être plus paisible '. Comme le complément direct suit le participe passé ' pu ', ce dernier demeure invariable.

Il faut savoir que l'expression ' s'en donner à cœur joie ' constitue une locution verbale invariable, tout comme les expressions suivantes :

1) se donner libre cours; 2) se donner raison; 3) se donner tort; 4) se faire jour; 5) se faire mal; 6) se faire face; 7) se faire grâce; 8) se faire injure; 9) se faire justice; 10) se faire peur; 11) se rendre compte; 12) se rendre justice; 13) se rendre la pareille; 14) se rendre service; 15) se rendre visite; 16) se chercher querelle.

Remarque : dans toutes ces expressions, le mot qui suit l'infinitif est en fait un complément direct intégré au verbe, donc le participe passé de ces verbes restera toujours invariable...

Vous deviez déjà sans doute savoir que l'expression ' s'en donner à cœur joie ' est une locution verbale pronominale considérée comme un ensemble non décomposable et invariable.

C'est bien le cas d'un participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir '.

Nous sommes à la recherche d'un complément direct. Posez la question : ' Il a fatigué qui? ' = ' les '. Comme vous ne savez pas s'il s'agit d'hommes ou de femmes, vous devez privilégier encore la marque du masculin.

Remarque : la grammaire française est misogyne, elle privilégie les hommes ...les choses changent lentement...

Il vous faut revoir la règle d'accord du participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir '. Continuer d'étudier sans perdre patience...

C'est le cas du participe passé accidentellement pronominal, communément appelé ' occasionnellement pronominal ' ou ' réfléchi '.

Nous sommes à la recherche d'un complément direct. Lorsque nous posons la question, nous devons modifier l'auxiliaire ' être ' par l'auxiliaire ' avoir '.

Posons maintenant la question : ' Messieurs, vous avez ennuyé qui? ' = ' vous ', qui représente ' Messieurs '.

Le participe passé s'accorde donc au masculin pluriel.

Il vous faut revoir les règles d'accord des participes passés pronominaux.

Il s'agit ici d'un participe passé à la voix passive, employé avec l'auxiliaire ' être ', lequel s'accorde avec son sujet.

Vous avez remarqué que le participe passé ' accepté ', employé avec l'auxiliaire ' être ' et à la voix passive, s'accorde avec son sujet.

C'est ici le cas du participe passé accidentellement pronominal, communément appelé ' occasionnellement pronominal ' et ' réciproque '.

Nous sommes à la recherche d'un complément direct. Au moment de poser la question, nous devons modifier l'auxiliaire ' être ' par l'auxiliaire ' avoir '.

Posons maintenant la question : ' Les négociateurs ont beaucoup parlé qui? = Nous n'obtenons pas de réponse à cette question.

Tentons une autre question : ' Les négociateurs ont beaucoup parlé quoi? ' = Nous n'obtenons pas de réponse à cette question non plus.

Le participe passé demeure donc invariable. Nous n'avons pas de réponse aux deux questions précédentes parce que, dans cette phrase, le verbe pronominal ' se parler ' est suivi d'un complément indirect, et non d'un complément direct.

En effet, nous devons poser la question suivante : ' Les négociateurs ont beaucoup parlé à qui? = à ' se ', qui représente ' les négociateurs '.

Comme nous répondons à la question 'à qui? ', nous trouvons ici un complément indirect. Dans ce cas, le participe passé demeure invariable.

Vous saviez que, pour cette phrase, vous deviez posez la question ' à qui? '.

Posons la question : ' Les négociateurs ont beaucoup parlé à qui? ' = à ' se ', qui représente ' les négociateurs '.

Le participe passé demeure invariable lorsqu'il est accompagné d'un complément indirect.

Il fut rédacteur scientifique au Journal Officiel et rédacteur en chef de La Nature. Il a publié de très nombreux articles dans les revues La Nature, La Science illustrée, la Revue scientifique et le Journal des débats.

L'Académie des sciences remet un prix qui porte son nom. Ce prix quadriennal est destiné à récompenser des travaux ou un ouvrage d'histoire des sciences ou d'épistémologie.

Le participe passé s'accorde en genre et en nombre avec le complément direct ' métamorphoses ', placé avant le participe passé.

Le participe passé est employé sans auxiliaire et s'accorde comme un adjectif qualificatif, soit en genre et en nombre avec le mot auquel il se rapporte, soit ' goutte d'eau ' (goutte : féminin singulier).

Le participe passé est employé sans auxiliaire et s'accorde comme un adjectif qualificatif, soit en genre et en nombre avec le mot auquel il se rapporte, soit ' goutte d'eau ' (goutte : féminin singulier).

Le participe passé est employé sans auxiliaire et s'accorde comme un adjectif qualificatif, soit en genre et en nombre avec le mot auquel il se rapporte, soit ' goutte d'eau ' (goutte : féminin singulier)

Dans cet emploi pronominal, le participe passé s'accorde avec le complément direct ' s ', qui représente le pronom personnel ' elle ' (féminin singulier).

Dans cet emploi pronominal, le participe passé s'accorde avec le complément direct ' la ', qui représente la goutte d'eau (goutte : féminin singulier).

Le participe passé demeure invariable parce que le verbe est suivi d'un complément indirect (appartenir à). Comme il n'y a pas de complément direct qui précède le participe passé, ce dernier demeure invariable.

On emploie cet adjectif pour indiquer que quelque chose est très ancien, comme le déluge de la Bible.

Le participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir ' (présent dans le verbe précédent ' appartenu ', mais non dans le verbe ' vivifié ') demeure invariable parce que le complément direct ' fougères ' suit le participe passé.

Le participe passé demeure invariable parce que le complément direct ' sa liberté ' suit le participe passé.

Dans cet emploi essentiellement pronominal, le participe passé s'accorde avec le sujet ' elle ' (féminin singulier).

S'il est vrai que la grammaire traditionnelle dit que les verbes essentiellement pronominaux s'accordent en genre et en nombre avec leur sujet, l'accord se fait plutôt avec le pronom personnel ' se ', intégré de façon permanente au verbe, qui joue le rôle de conduit de l'accord du participe passé.

Le participe passé employé avec l'auxiliaire ' être ' s'accorde en genre et en nombre avec son sujet, ' elle ' (féminin singulier).

Le participe passé employé avec l'auxiliaire ' être ' s'accorde en genre et en nombre avec son sujet, ici le pronom personnel ' elle ' (féminin singulier).

Nous sommes en présence d'un participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir '. Lorsque nous posons la question ' un petit oiseau a bu quoi? ', nous répondons ' la goutte d'eau '. Comme le complément direct ' goutte d'eau ' précède le participe passé, ce dernier s'accorde en genre et en nombre avec ' goutte d'eau ' (goutte : féminin singulier).

Le participe passé s'accorde avec le sujet ' elle ', car il s'agit du verbe ' emporter ' conjugué au passé composé de l'indicatif, à la voix passive (grammaire traditionnelle).

On dit aussi que le participe passé est employé ici comme un adjectif qualificatif, précédé du verbe ' être ' employé au passé composé (grammaire moderne).

Le participe passé employé avec l'auxiliaire ' être ' s'accorde en genre et en nombre avec le sujet, ici ' elle ' (féminin singulier).

Nous sommes en présence d'un participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir ', qui s'accorde en genre et en nombre avec le complément direct s'il est placé avant le participe passé.

Dans cette phrase, le complément direct est ' innombrables voyages ' (masculin pluriel).

Comme le complément direct est placé avant le participe passé, ce dernier doit s'accorder avec celui-ci, soit ' innombrables voyages ' (masculin pluriel).

Nous sommes en présence d'un participe passé pronominal réfléchi, qui s'accorde avec le complément direct placé avant le participe passé.

Dans cette phrase, le complément direct correspond à ' s ', qui représente le pronom personnel sujet ' elle '. Le participe passé doit donc s'accorder au féminin singulier.

Lorsque deux participes passés se suivent, le second correspond à un participe passé employé sans auxiliaire, qui s'accorde comme un adjectif qualificatif, soit en genre et en nombre avec le mot auquel il se rapporte, soit ' elle ' (féminin singulier).

Il s'agit ici d'un participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir ' mais, attention, il s'agit d'un cas particulier.

Lorsque l'on cherche le complément direct, l'on doit répondre par une proposition, ce qui rend le participe passé invariable.

Posons maintenant la question : ' on aurait pensé quoi? ' = ' que sa carrière serait moins prodigieuse que ce qu'elle a été '.

Comme nous avons répondu par une proposition complète, le participe passé demeure invariable.

À la question ' on aurait pensé quoi? ' , nous n'aurions pas pu répondre seulement par le mot ' carrière '. La réponse n'aurait pas été complète.

De plus, avez-vous remarqué que nous n'avons pas utilisé le même adverbe comparatif lorsque nous avons répondu à la question...

Dans la phrase originale, il y est écrit ' plus ', tandis que dans la réponse, nous avons utilisé ' moins '.

C'est le cas du participe passé pronominal réfléchi, qui s'accorde en genre et en nombre avec le complément direct s'il est placé avant le participe passé.

Dans ce cas, le complément direct suit le participe passé. C'est la raison pour laquelle le participe passé demeure invariable.

Posons la question et répondons-y : ' Nous avons imaginé quoi? ' = ' les terres qu'elle a fertilisées '.

Le participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir ' s'accorde en genre et en nombre avec le complément direct s'il précède le participe passé.

Dans ce cas, le complément direct est ' les terres ' (féminin pluriel) qui précède le participe passé. Ce dernier s'accorde donc avec ' les terres ' (féminin pluriel).

Le participe passé ' fait ' employé avec l'auxiliaire ' avoir ' et suivi d'un verbe à l'infinitif (éclore) est toujours invariable parce que le complément direct correspond toujours au verbe à l'infinitif qui suit le participe passé; dans ce cas-ci, il s'agit du verbe ' éclore '.

Le participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir ' dans cette phrase demeure invariable parce qu'il n'y a pas de complément direct.

Le verbe ' contribuer ' introduit toujours un complément indirect au moyen de la préposition ' à '; dans ce cas-ci, ' à former '.

Il s'agit d'un participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir ' et suivi d'un verbe à l'infinitif.

Comme le complément direct pronom personnel ' l ', qui correspond à la goutte d'eau (féminin singulier), fait l'action exprimée par le verbe à l'infinitif ' briller ', l'accord se fait avec le complément direct placé avant le participe passé.

C'est bien ici un participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir ' et suivi d'un verbe à l'infinitif.

Comme le complément direct pronom personnel ' l ', qui correspond à la goutte d'eau (goutte : féminin singulier), fait l'action exprimée par le verbe à l'infinitif ' murmurer ', l'accord se fait avec le complément direct placé avant le participe passé.

C'est un participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir ' et suivi d'un verbe à l'infinitif.

Comme le complément direct pronom personnel ' l ', qui correspond à la goutte d'eau (goutte : féminin singulier), ne fait pas l'action exprimée par le verbe à l'infinitif ' emporter ' (elle subit l'action d'être emportée), le participe passé demeure invariable.

C'est le cas du participe passé pronominal réfléchi, qui s'accorde en genre et en nombre avec le complément direct si ce dernier précède le participe passé.

À la question : ' Elle a insinué qui? ', nous répondons ' se ', qui correspond à ' Elle ' (féminin singulier). Le participe passé s'accorde donc au féminin singulier.

C'est un participe passé pronominal réfléchi, qui s'accorde en genre et en nombre avec le complément direct s'il précède le participe passé.

À la question : ' Elle a procuré quoi? ', l'on peut répondre ' une issue '.

Comme le complément direct suit le participe passé, ce dernier demeure invariable.

Il y a ici un participe passé pronominal réfléchi, qui s'accorde en genre et en nombre avec le complément direct si ce dernier précède le participe passé.

À la question : ' Elle a mêlée qui? ', on répond ' s ', qui représente le pronom personnel sujet ' elle '.

Le participe passé s'accorde donc en genre et en nombre avec le pronom personnel complément direct ' s ' (féminin singulier).

Le participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir ' demeure invariable dans cette phrase parce que le complément direct ' son rôle ' suit le participe passé.

C'est un participe passé employé avec un verbe impersonnel.

Il faut savoir que le participe passé d'un verbe impersonnel est toujours invariable.

Vous savez sans doute déjà que vous êtes en présence d'un verbe impersonnel lorsque le pronom utilisé est ' il ' et que vous ne pouvez pas le remplacer par un autre pronom ou un autre nom.

Cas du participe passé sans auxiliaire, qui s'accorde comme un adjectif qualificatif, soit en genre et en nombre avec le mot auquel il se rapporte; dans ce cas-ci, il s'accorde avec ' la même eau ' (féminin singulier).

C'est un participe passé sans auxiliaire, qui s'accorde comme un adjectif qualificatif, soit en genre et en nombre avec le mot auquel il se rapporte; dans ce cas-ci, il s'accorde avec ' la même eau ' (féminin singulier).

Dans cette phrase, le participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir ' demeure invariable parce que lorsque nous répondons à la question ' les géologues ont prédit quoi?, nous devons répondre par une proposition.

Voyons voir. Posons la question : ' les géologues ont prédit quoi? = ' qu'il arriverait des refroidissements '.

Comme le complément direct est une proposition et qu'elle est introduite par ' qui arriveront ', qui suit le participe passé, ce dernier demeure invariable.

Vous avez remarqué ici le participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir '.

Vous ne vous êtes pas laissé intimider par les formes négative et interrogative présentes dans la phrase.

Vous avez posé la question suivante : ' tu as donné quoi? ' = ' les ', qui représente ' les renseignements '.

Comme le complément direct ' les ' précède le participe passé, ce dernier doit s'accorder. Dans cette phrase, le pronom personnel ' les ' remplace ' les renseignements ' (masculin pluriel).

C'est sans doute les formes négative et interrogative qui vous ont induit en erreur.

Posez bien la question : ' tu as donné quoi? ' = ' les ', qui représente ' les renseignements ' (masculin pluriel).

Ce sont sans doute les formes négative et interrogative qui vous ont induit en erreur. Refaites le calcul...

Vous vous êtes rendu compte que vous étiez en présence d'un participe passé pronominal réciproque.

Vous avez posé la question suivante : ' Elles ont envoyé quoi? ' = ' les ', qui représente ' les cadeaux '.

Comme le complément direct ' les ' précède le participe passé, ce dernier doit s'accorder en genre et en nombre avec son antécédent (cadeaux = masculin pluriel).

Une révision des règles d'accord du participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir ' s'impose…

Le participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir ' s'accorde avec le complément direct si ce dernier est placé avant le participe passé.

Posons la question : ' j'ai écrit quoi? ' = ' que ', qui représente ' la lettre '. Le participe passé doit donc s'accorder en genre et en nombre avec son antécédent (lettre : féminin singulier).

Le participe passé ne s'accorde pas puisque le verbe pronominal ' se téléphoner ' s'accompagne seulement d'un complément indirect.

On dit ' téléphoner à quelqu'un '. Le participe passé demeure alors invariable.

Dit-on ' téléphoner quelqu'un ou ' téléphoner à quelqu'un '?

On doit dire ' téléphoner à quelqu'un.

Comme le verbe ' téléphoner ' commande l'emploi d'un complément indirect, le participe passé demeure invariable.

La locution verbale ' se rendre compte ' constitue une expression non décomposable dont le participe passé demeure invariable.

On considère que le mot ' compte ' joue le rôle d'un complément direct inamovible, toujours après le verbe, donc le participe passé est toujours invariable...

C'est ici un participe passé pronominal réfléchi, qui s'accorde avec le complément direct s'il est placé avant le participe passé.

On doit poser la question suivante : ' Françoise a regardé qui? ' = ' s' ', qui représente Françoise.

Le participe passé doit donc s'accorder avec l'antécédent du pronom personnel ' s ', soit ' Françoise ' (féminin singulier).

Vous avez bien compris la règle d'accord du participe passé des verbes pronominaux réfléchis. Continuez de bien étudier.

Il s'agit ici d'un participe passé essentiellement pronominal, qui s'accorde avec son sujet.

Il faut poser la question suivante : ' Qui est-ce qui s'est accoudé? ' = Elles (féminin pluriel).

S'il est vrai que la grammaire traditionnelle dit que les verbes essentiellement pronominaux s'accordent en genre et en nombre avec leur sujet, l'accord se fait plutôt avec le pronom personnel ' se ', intégré de façon permanente au verbe, qui joue le rôle de conduit de l'accord du participe passé.

S'il est vrai que la grammaire traditionnelle dit que les verbes essentiellement pronominaux s'accordent en genre et en nombre avec leur sujet, l'accord se fait plutôt avec le pronom personnel ' se ', intégré de façon permanente au verbe, qui joue le rôle de conduit de l'accord du participe passé.

C'est ici un participe passé pronominal, qui n'est pas accompagné d'un complément direct.

Dit-on ' succéder quelqu'un ' ou ' succéder à quelqu'un '? Nous disons ' succéder à quelqu'un '.

Comme le verbe ' succéder ' commande un complément indirect, et non un complément direct, le participe passé demeure invariable.

Vous saviez déjà que le verbe ' succéder ' était accompagné d'un complément indirect et que, dans ce cas, le participe passé demeure invariable.

Nous sommes en présence d'un participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir '.

Serait-ce la présence des deux ' que ' qui vous aurait induit en erreur?

Vous aurez posé la question suivante : ' l'enseignante a informé qui? ' = ' que ', qui représente ' les élèves '.

Le participe passé doit donc s'accorder en genre et en nombre avec l'antécédent ' élèves ' (masculin pluriel).

le premier ' que ' est un pronom relatif, le deuxième ' que ' est une conjonction de subordination.

Remarque : La phrase ' l'enseignante a informé les élèves qu'elle prenait maintenant sa retraite ' contient en fait l'équivalent d'un complément indirect.

On aurait pu dire en effet ' l'enseignante a informé les élèves de sa prise de retraite '.

Vous ne vous êtes pas laissé intimidé par les deux ' que ' présents dans la phrase.

Vous avez répondu correctement à la question suivante : ' cette enfant a voulu quoi? ' = ' qu'on lui offre des poupées '. Comme le complément direct est introduit par la proposition qui suit le participe passé, ce dernier reste invariable.

Remarque : Le premier ' que ' est le pronom relatif, qui est complément direct du verbe ' offrir '.

Le deuxième ' que ' est une conjonction de subordination.

Vous n'avez peut-être pas bien répondu à la question suivante : ' cette enfant a voulu quoi? '.

Si vous avez répondu seulement ' les poupées ', vous êtes dans l'erreur.

À la question ' cette enfant a voulu quoi? ', il fallait répondre : ' qu'on lui offre des poupées '.

Vous avez peut-être hésité en raison de la présence des deux ' que ' dans la phrase.

Récapitulons! Il y a ici un participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir '.

Posons la question : ' on a avisé qui? ' = ' que ', qui représente ' les candidats '.

Comme le complément direct ' que ' précède le participe passé, ce dernier doit s'accorder en genre et en nombre avec l'antécédent du complément direct ' que ', soit ' candidats ' (masculin pluriel).

le premier ' que ' est un pronom relatif, le deuxième ' que ' est une conjonction de subordination.

Remarque : La phrase ' On a avisé les candidats qu'ils étaient convoqués à une entrevue demain. ' contient en fait l'équivalent d'un complément indirect.

On aurait pu dire en effet ' On a avisé les candidats d'une convocation à une entrevue demain. '.

Vous avez remarqué que vous étiez en présence d'un participe passé essentiellement pronominal.

En effet, nous ne pouvons dire ' j'empresse '. Nous ne pouvons utiliser ce verbe qu'à la forme pronominale.

Vous vous souveniez également que les verbes essentiellement pronominaux s'accordent en genre et en nombre avec leur sujet.

Vous avez posé la question : ' Qui est-ce qui s'est empressé de vous tendre la main? ' = Ils. Le participe passé doit donc s'accorder au masculin pluriel.

S'il est vrai que la grammaire traditionnelle dit que les verbes essentiellement pronominaux s'accordent en genre et en nombre avec leur sujet, l'accord se fait plutôt avec le pronom personnel ' se ', intégré de façon permanente au verbe, qui joue le rôle de conduit de l'accord du participe passé.

Une révision de la règle d'accord du participe passé des verbes essentiellement pronominaux s'impose…

Vous avez répondu correctement à la question suivante : ' ils ont appris quoi? ' = ' à jouer les gammes '.

Comme le complément direct est introduit par la préposition ' à ' et le verbe à l'infinitif ' jouer ' qui suivent immédiatement le participe passé, ce dernier demeure invariable.

Remarque : et les gammes ne font pas l'action de jouer, donc le participe passé est invariable.

' Les gammes ' est bien complément direct de ' jouer ', et non pas de ' apprendre '.

Vous avez sans doute répondu incorrectement à la question.

Avez-vous remarqué que vous étiez en présence d'un participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir '?

Posons maintenant la question : ' ils ont appris quoi? ' Auriez-vous répondu seulement ' les gammes '? Dans l'affirmative, vous êtes dans l'erreur.

Ils ont appris à jouer les gammes. Prenez le temps de réviser cette règle...

A-t-il côtoyé une seule actrice ou plusieurs actrices? Selon le contexte de la phrase, il aurait côtoyé plus d'une actrice.

Vous avez sans doute posé la question suivante : ' il a côtoyé qui? ' = ' qu' ', qui représente ' des actrices '.

Il a bien côtoyé plusieurs actrices, mais seulement l'une d'elles vit à Hollywood. C'est la raison pour laquelle le verbe ' vivre ' qui suit est accordé au singulier.

Comme une seule personne pourrait accéder à la présidence, c'est la disjonction, et non l'addition, qui prévaut.

L'accord doit donc se faire en genre et en nombre uniquement avec le second antécédent; dans cette phrase, le second antécédent est ' Maryse ' (féminin singulier).

Il vous faut revoir les règles d'accord du participe passé dont les antécédents sont joints par ' ni ' ou par ' ou '.

Il s'agit bien ici d'un participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir '.

Dans cette phrase, les mots ' couleur ' et ' modèle ' sont joints par la conjonction de comparaison ' autant que '.

Comme des virgules encadrent ' autant que le modèle ', ce n'est pas ici une addition, mais plutôt d'une disjonction, une comparaison.

L'accord du participe passé doit donc se faire uniquement avec le mot ' couleur ' (féminin singulier).

Si aucune virgule n'avait encadré ' autant que le modèle ', nous aurions trouvé une addition. Le participe passé se serait alors accordé avec les mots ' couleur ' et ' modèle ' (masculin pluriel).

La phrase aurait été la suivante : ' C'est la couleur autant que le modèle que j'ai privilégiés pour le choix de ce meuble '.

Vous semblez bien maîtriser la règle du participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir ' et dont les antécédents sont joints par une conjonction de comparaison. Continuez de bien étudier.

Nous sommes en présence d'un participe passé attribut du complément direct après les verbes dits d'opinion (considérer, croire, déclarer, élire, estimer, juger, nommer, préférer, proclamer, trouver, voir, etc.).

L'on doit poser la question comme suit : ' il a trouvé intéressants quoi? Comme le complément direct ' ces films ' précède le participe passé, ce dernier s'accorde en genre et en nombre avec ' ces films ' (masculin pluriel).

Souvenez-vous qu'un adjectif qualificatif ne peut jamais faire fonction de complément direct.

L'adjectif qualificatif répond à la question ' comment? ' et jamais à la question ' quoi? '.

Vous semblez bien maîtriser les règles d'accord du participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir '… et toutes ses particularités.

Auriez-vous pensé être en présence d'un participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir ', à cause du ' ont '?

Rappelez-vous que si vous voyez le mot (verbe conjugué) ' été ', il s'agit toujours de l'auxiliaire ' être '.

Dans ces phrases conjuguées à la voix passive, le verbe conjugué ' ont été ' est le passé composé de l'indicatif du verbe ' être ', à la voix passive.

Le participe passé employé avec l'auxiliaire ' être ' à la voix passive s'accorde en genre et en nombre avec son sujet.

Nous devons poser la question comme suit : ' Qu'est-ce qui a été déraciné '? = ' Tous ces arbres ' (masculin pluriel).

Vous avez remarqué le participe passé employé avec l'auxiliaire ' être ' et à la voix passive, qui s'accorde en genre et en nombre avec son sujet. Continuez de bien étudier.

Lorsque la locution verbale ' mis à part ' précède le mot auquel il se rapporte (dans cette phrase, ' brise fraîche '), le verbe conjugué au participe passé ' mis ' demeure invariable.

Remarque : dans ce cas, ' mis à part ' est un mot composé, une locution prépositive, qui équivaut à la préposition ' sauf ', donc ' mis ' doit rester invariable.

Remarque : On note dans l'exemple précédent que ' mis à part ' n'est pas un mot composé et ne peut donc être remplacé par ' sauf '.

Une révision s'impose….

Remarque : Dans ce cas, le mot ' ci-joint ' ne peut être remplacé par ' ici '.

Toutefois, si le mot ' ci-joint ' précède le mot auquel il se rapporte, le participe passé demeure invariable. Voici un exemple. On écrirait : ' Vous trouverez ci-joint une enveloppe affranchie pour nous faire parvenir votre formulaire dûment rempli. '

Remarque : Dans ce dernier cas, le mot ' ci-joint ' peut être remplacé par ' ici '.

C'est bien ici un participe passé employé avec l'auxiliaire ' avoir '.

La forme interrogative vous aurait-elle induit en erreur?

Reprenons à partir du début.

Nous sommes à la recherche d'un complément direct. Posons maintenant la question : ' Vous avez mangé quoi? ' = des carottes.

Comme le complément direct ' carottes ' précède le participe passé, ce dernier s'accorde en genre et en nombre avec ce complément 'carottes ' (féminin pluriel).

Si la phrase avait été ' Combien avez vous mangé de carottes? ', le participe passé aurait été invariable parce que le complément direct, soit ' carottes ', suit alors le participe passé.

Vous avez sans doute remarqué que c'est ici un participe passé pronominal réfléchi.

L'accord de ce type de participe passé se fait avec le complément direct si ce dernier est placé avant le verbe.

Vous avez bien posé la question et vous y avez répondu correctement.

Posons la question : ' tu as attribué quoi? '= ' les ', qui représente ' Ces responsabilités '.

Comme le complément direct ' les ' précède le participe passé, ce dernier s'accorde en genre et en nombre avec son antécédent, soit ' Ces responsabilités ' (féminin pluriel).

Il vous faut revoir les règles d'accord des participes passés pronominaux… et vous exercer encore et encore, ah là là, ces participes passés, on n'en finit jamais...

Peut-être avez-vous de la difficulté à poser votre question et à y répondre lorsque plusieurs pronoms personnels se suivent, comme c'est le cas dans cette phrase (elles, se, les) — elles = sujet, se = complément indirect, les = complément direct? … C'est ici un participe passé pronominal réciproque.

Ce type de participe passé s'accorde avec le complément direct si ce dernier précède le participe passé.

Posons la question : ' elles ont donné quoi? ' = ' les ', qui représente ' les cadeaux ' (masculin pluriel).

Comme le pronom personnel complément direct ' les ' précède le participe passé, ce dernier doit s'accorder en genre et en nombre avec son antécédent, soit ' les cadeaux ' (masculin pluriel).

C'est un cas de participe passé pronominal suivi d'un attribut du pronom réfléchi complément direct.

Ce type de participe passé s'accorde généralement avec le pronom réfléchi.

Voyons voir. Posons la question : ' Ils ont déclaré quoi?' Si vous avez répondu ' satisfaits', vous êtes dans l'erreur.

' Satisfaits ' est un adjectif qualificatif. Vous devez vous rappeler qu'un adjectif qualificatif ne peut jamais faire fonction de complément direct.

L'adjectif qualificatif répond à la question ' comment? ' et jamais à la question ' quoi? '.

Il fallait poser la question : ' Ils ont déclaré satisfaits qui? ' = ' se ', qui représente ' ils '.

Le participe passé doit donc s'accorder avec cet antécédent ' ils ' (masculin pluriel).

C'est un participe passé d'un verbe pronominal suivi d'un attribut du pronom réfléchi complément direct.

Complément direct : ' Ils ont déclaré satisfaits qui? ' = ' se ', qui représente ' ils ' (masculin pluriel). Continuez de bien étudier.

Il faut savoir que le verbe ' succéder ' s'accompagne toujours d'un complément indirect, et non un complément direct.

En effet, nous devons poser la question suivante : ' Les travaux de rénovation ont succédé à quoi? '

Vous vous êtes sans doute rappelé que le participe passé du verbe 'succéder ' est toujours invariable parce que le verbe ' succéder ' commande toujours l'emploi d'un complément indirect, et non d'un complément direct. Continuez de bien étudier.