Les forêts fréquentées par les Algonquiens abritaient d’innombrables espèces de plantes comestibles et utilitaires ainsi que de nombreux petits fruits sauvages (atocas, bleuets, fraises, framboises, groseilles, mûres et pimbina). Une grande variété de plantes herbacées étaient appréciées pour leurs bulbes comestibles ou leurs propriétés médicinales comme l’ail des bois, les trilles, la quenouille, etc.

Source : Ail des bois, illustration Diane Boily

Les Algonquiens appréciaient le goût délicat de l’ail des bois qui ajoutait une saveur exquise aux viandes et aux soupes.

Source : Quenouille, illustration Diane Boily

Les Algonquiens mangeaient les différentes parties de la quenouille et l’utilisaient pour en faire de la farine.