S'il est important d'introduire un cours, il est tout aussi important de le clôturer en en faisant la synthèse, le résumé ou, encore mieux, en faisant résumer et expliciter par les étudiants leur compréhension de ce qui a été traité pendant le cours. C'est aussi, selon Altet et Britten (1983), une belle occasion de donner aux étudiants un sentiment de satisfaction intellectuelle. Essentiellement, lors de la clôture, il s'agit :
Comme il peut y avoir plusieurs clôtures à l'intérieur d'un cours de trois heures, il faut donc prévoir des moments d'arrêt pour faire le point avant d'amorcer chaque nouvelle partie. C'est là un excellent moyen de contrer le problème relié à la limite de la capacité d'absorption d'une grande quantité d'informations. Ces « mini clôtures » consistent alors en des « retours systématiques sur les connaissances transmises » (Barbeau, Montini et Roy, 1997).
Cette façon de procéder permettrait, selon eux :
Selon Prégent (1990), la durée tant de la clôture que de l'introduction devrait représenter 5 % de la durée d'un exposé. Malheureusement, c'est une partie généralement négligée. La difficulté réside davantage dans le fait de la considérer comme faisant partie intégrante d'un cours que dans l'action de la préparer.