Carmen Dionne, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en intervention précoce, s'intéresse aux pratiques d'intervention auprès des enfants présentant des incapacités intellectuelles et de leurs différents milieux de vie (familles, centres de la petite enfance, écoles, ressources communautaires) tout en visant l'avancement des connaissances en ce qui a trait au développement et au fonctionnement de ces enfants. 

Intérêts de recherche : Développement de l’enfant en contexte d’adversité; Troubles du spectre de l’autisme (TSA); Parentalité en contexte de TSA; Méthodes de synthèse : revue systématique et méta-analyses; Évaluation de programme.

Claire Dumont est une professeure à la retraite. Ses intérêts actuels de recherche se centrent sur les personnes autistes à l’âge adulte. Elle s’est également intéressée aux troubles sensorimoteurs des personnes autistes ainsi que leurs conséquences sur différentes occupations, notamment l’écriture et les activités de motricité fine. L’utilisation des applications associées aux technologies mobiles pour faciliter l’écriture, favoriser différents apprentissages, contribuer à l’autonomie et à la réussite scolaire fait aussi partie de ses sujets de recherche. Elle a plusieurs collaborations avec le milieu scolaire en ce sens. Enfin, elle a réalisé un répertoire d’applications pour technologies mobiles en collaboration avec des étudiants en ergothérapie ainsi que des intervenants.

Stéphanie Girard a fait ses études de cycles supérieurs à l’Université de Montréal où elle a complété une maîtrise et un doctorat en psychopédagogie de l'éducation physique et à la santé (ÉPS). Elle a été enseignante en adaptation scolaire auprès d’adolescents présentant différentes problématiques comportementales pendant près de huit ans ainsi que maître instructeur en plongeon au Québec. Ses recherches portent sur les processus motivationnels des jeunes, dont ceux ayant des besoins particuliers dans les cours d’ÉPS et lors de la pratique d’activités physiques, ainsi que sur le rôle de l'enseignant au regard du climat motivationnel et de la gestion de classe. De plus, elle se spécialise en méthodes quantitatives appliquées en sciences sociales.

Marianne Paul est orthophoniste depuis 2009. Suite à sa maîtrise appliquée à l’université McGill, elle y a fait une maîtrise en recherche portant sur la création d’un test francophone de phonologie, puis un doctorat portant sur la création du MilBec, un questionnaire aux parents visant le dépistage des troubles du langage chez les jeunes enfants. Elle est professeure au département d’orthophonie à l’UQTR depuis décembre 2014. Ses projets de recherche portent principalement sur la création, validation et normalisation de tests orthophoniques chez les enfants d’âge préscolaire.