Laboratoires

Laboratoire du Dr Carlos Reyes-Moreno

Mon laboratoire s’intéresse au rôle des cytokines inflammatoires et gestationnelles dans la régulation des réponses immunes et inflammatoires dans le cadre du développement du cancer et des maladies gestationnelles. Plus spécifiquement, nos études visent à comprendre comment certaines cytokines et autres molécules de synthèse à action anti-inflammatoire modulent le métabolisme des macrophages, des cellules tumorales et des cellules embryonnaires. Ceci permettra de découvrir les marqueurs biologiques à cibler dans une approche de thérapie préventive ou curative pour ces maladies.

Laboratoire du Dr Erwan Pernet

Mon laboratoire s’intéresse aux mécanismes cellulaires et moléculaires qui déterminent la réponse immunitaire en fonction de l’âge. Plus particulièrement, les objectifs du laboratoire sont d’étudier les réponses immunitaires face aux infections pulmonaires et à la septicémie chez les jeunes enfants, qui représentent une population plus à risque de développer des maladies sévères et pour qui les options thérapeutiques sont limitées. C’est pourquoi, alors que la plupart des études en laboratoire se concentrent sur la modélisation de la maladie chez l'adulte, nous pensons que l’étude fondamentale de la pathogenèse des infections respiratoires et de la septicémie chez les jeunes enfants est nécessaire pour identifier de nouvelles approches thérapeutiques.

Laboratoire du Dr Éric Asselin

Le laboratoire de gynéco-oncologie moléculaire s’intéresse aux mécanismes cellulaires et moléculaires du contrôle de la survie et de la mort programmée (apoptose) des cellules utérines et ovariennes dans les processus physiologiques (reproduction, implantation embryonnaire, gestation, cycle menstruel) et pathologiques (cancer gynécologiques). Plus précisément, nous nous intéressons à la voir de signalisation AKT dans ces processus et avons développé plusieurs modèles de souris transgéniques, de modèles de xénogreffes, de modèles cellulaires humains in vitro, et de biopsies humaines pour effectuer nos recherches. Le rôle des hormones sexuelles féminines sont aussi étudiées lors de ces processus. www.asselinlab.com(nouvelle fenêtre)

Laboratoire du Dr Alexandre Fisette

Les approches pharmacologiques et de changements d’habitudes de vie visant à traiter l’obésité peuvent être couronnées de succès à court terme. Toutefois, un retour au poids initial est quasi systématiquement observé à long terme. La perte de poids et la maintenance de cette perte pourraient donc être des défis biologiques distincts, requérant des approches interventionnelles uniques afin de traiter la pathologie durablement. Mon programme de recherche vise à changer certains paradigmes du contrôle du métabolisme de l’énergie par le cerveau en mettant en lumière de nouveaux niveaux de plasticité du système nerveux central, que ce soit en lien avec la programmation nutritionnelle ou hormonale.

Laboratoire du Dr Patrick Narbonne

Notre laboratoire cherche à découvrir les mécanismes moléculaires qui contrôlent la prolifération des cellules souches. Ces mécanismes sont importants, car leur dérèglement peut entrainer la formation de tumeurs, et éventuellement le cancer. Leur manipulation pourrait également mener à de nouvelles approches en médecine régénératrice. Pour arriver à cette fin efficacement, nous utilisons un organisme modèle très simple et transparent appelé C. elegans qui nous permet d'utiliser une panoplie d'outils transgéniques de pointe (protéines fluorescentes, CRISPR/Cas9, imagerie in vivo, etc.).


Laboratoire du Dr Michel Cyr

Mes programmes de recherche visent à identifier et caractériser les processus moléculaires du cerveau impliqués lors de l’exécution du mouvement dans un contexte normal et lors de pathologies telle que la maladie de Parkinson. Par exemple, les neurones formant les ganglions de la base sont fortement altérés lors de l'apparition des troubles du mouvement chez les patients Parkinsoniens. Pourtant, le rôle de cette importante structure du cerveau dans la mémorisation du mouvement demeure inconnu à ce jour. Les résultats de nos travaux vont permettre de mieux cibler, voire même, de développer des stratégies moléculaires novatrices dans le traitement des troubles du mouvement.

Laboratoire du Dr Marc Germain

Mon laboratoire étudie les mécanismes régulant la fonction des mitochondries, l’organite responsable de la production de l’énergie cellulaire, et leur altération dans diverses pathologies. Nous nous intéressons particulièrement aux maladies mitochondriales, aux cellules souches cancéreuses et aux maladies neurodégénératives.

Laboratoire du Dre Geneviève Pépin

Mon laboratoire s’intéresse aux mécanismes menant à l’inflammation dans le cadre du développement du cancer et des maladies auto-inflammatoires. Plus précisément, nous cherchons à découvrir comment la cellule détecte ses propres molécules, comme son ADN, pour induire une réponse inflammatoire. Nos recherches visent, notamment, à découvrir de nouvelles ciblent thérapeutiques pour ces maladies.

Laboratoire du Dr Lionel Berthoux

Mon laboratoire s'intéresse à la biologie cellulaire et moléculaire de la réplication virale, et aux réponses immunitaires innées contre les virus. Nous travaillons en particulier sur les effecteurs capables de directement inhiber la réplication virale, également appelés "facteurs de restriction". Nous développons des solutions biotechnologies pour la lutte contre les rétrovirus (VIH), les flavivirus (dengue) et les coronavirus (COVID-19).

Laboratoire du Dre Maria-Grazia Martinoli

Dans mon laboratoire de neurobiologie cellulaire, le programme de recherche principal consiste en l’étude des mécanismes cellulaires sous-jacents à la dégénérescence des neurones dans les maladies neurodégénératives telles que la maladie de Parkinson. Plus particulièrement, nous analysons le rôle de molécules oxydantes et inflammatoires sur la morte cellulaire. Dans ce contexte, nous nous intéressons aussi aux mécanismes neuroprotecteurs, c’est-à-dire la possibilité que certains stéroïdes puissent agir en tant que molécules antioxydantes et anti-inflammatoires.


Laboratoire du Dr Jean-Philippe Leduc-Gaudet

Le muscle squelettique représente environ 40 % de la masse corporelle d’un individu sain et joue un rôle crucial non seulement dans la locomotion, la respiration, la thermogenèse, mais également dans la régulation du métabolisme des lipides et des glucides. Le laboratoire de physiologie et physiopathologie musculaire du Dr Jean-Philippe Leduc-Gaudet à l’UQTR s’intéresse à l'identification de nouveaux gènes et voies de signalisation impliqués dans la régulation de la masse musculaire. Mon laboratoire étudie les voies de signalisation qui contrôlent la synthèse et la dégradation des protéines, le contrôle de la qualité mitochondriale, l'autophagie et la régulation transcriptionnelle, et comment ces mécanismes cellulaires et moléculaires régule la santé musculaire et l'ensemble du corps.