École Internationale d’été

Détail du projet

L’École proposée ouvre la possibilité à des rencontres entre experts, étudiants, professionnels et un plus large public.

L’École proposée a les objectifs suivants :

Partager des expertises et des connaissances d’actualité sur la manière de relever des défis de longue date en matière de SST ;

Débattre les implications de l’évolution du monde du travail et explorer les nouvelles idées sur la promotion d’une culture moderne de prévention ;

Discuter des risques émergents reliés à la transformation numérique des entreprises et les outils d’analyse de la performance en SST.

Pour maximiser la présence et s’ouvrir davantage sur l’international, l’inscription à l’École sera gratuite durant les deux premières années. Par la suite, nous comptons proposer des frais d’inscription afin de rendre l’École plus autonome. Les ateliers seront réalisés en mode hybride, en utilisant une des plateformes utilisées par l’UQTR. La présence se fera en respectant les directives sanitaires de l’UQTR. Dans le cas de mesures plus strictes, il est prévu de basculer à distance.

Les participants à cette École seront capables de comprendre, d’analyser et d’agir face à des problématiques complexes. Ils prendront connaissance des nouvelles stratégies et des outils technologiques d’aide à la résolution des problématiques industrielles. En plus d’acquérir des connaissances techniques et de gestion, les ateliers planifiés durant cette École permettront aux participants de développer le sens d’éthique et de professionnalisme, en intégrant les principes de responsabilité sociétale.

Retombées du projet

Les retombées de l’École proposée sont majeures pour l’UQTR, puisqu’elle permettra de :

Promouvoir les programmes d’études (Certificat en SST 4253, Maitrise en sécurité et hygiène industrielle 3485, Maitrise en génie industriel 1531 et 1541 et DESS en génie industriel 3729) et les travaux de recherche au sein du Laboratoire d’innovation en SST (LiSST, accrédité par l’UQTR et implique des membres réguliers de l’École d’ingénierie et l’École de gestion).

Enrichir les programmes d’études en ajoutant des sujets d’actualité en SST pour aider les étudiants dans leurs cheminements académiques. Puisque nos programmes en SST n’offrent pas des stages obligatoires sur le terrain, cette école pourra compléter la formation de ceux qui veulent connaitre davantage la réalité des entreprises en contexte de l’Industrie 4.0.

Recruter d’excellents étudiants internationaux et nationaux aux programmes cités ci-haut.

Tisser des collaborations de longue durée avec des chercheurs internationaux en SST qui pourront offrir des opportunités d’échanges (stages de recherche à l’étranger, codirection d’étudiants, etc.).

Convaincre le milieu d’affaires de la pertinence des projets de recherche en SST qui se font au département et à l’UQTR et ouvrir des portes à des opportunités de financement.

Appuyer les efforts du Centre national intégré du manufacturier intelligent (CNIMI) dans la transition du secteur manufacturier québécois vers la fabrication intelligente en fructifiant sa recherche orientée vers la gestion des risques de SST de son axe de recherche sur la Gestion des opérations, de la logistique et l’aide à la décision de la transformation numérique des entreprises.

En quoi le projet contribue-t-il à l’internationalisation de vos activités académiques

L’École d’été proposée aura de nombreux avantages durables pour le département de génie industriel, l’École d’ingénierie et l’École de gestion. Ces avantages feront de l’École un projet d’envergure qui pourra contribuer à l’internationalisation de nos activités académiques. Parmi ces avantages, nous citons les suivants :

La préparation des étudiants en tant que membres productifs du monde de travail par le développement de la conscience sur les enjeux de la protection de la main d’œuvre ;

L’accès à des programmes de SST qui ne sont pas disponibles ou rarement proposés dans les pays d’origine des étudiants internationaux ;

Le perfectionnement du corps enseignant (professeurs et chargés de cours) afin d’éviter, à travers l’ouverture internationale, le risque d’une « fermeture » académique ;

La participation à des réseaux internationaux en s’appuyant sur l’expertise et les perspectives de diverses institutions du monde afin de conduire des travaux de recherche d’actualité.

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