Catherine détient un baccalauréat en psychologie, de même qu’un certificat en études féministes et un microprogramme en droit de l’Université de Montréal. Elle est actuellement étudiante à la maîtrise en science politique à l’Université de Montréal. Son mémoire de maîtrise, sous la direction de Pascale Devette, porte sur la crédibilité accordée à l’expérience de la douleur chronique et aux conséquences des injustices épistémiques dans le parcours de soin des individus. Ses travaux de recherche à la maîtrise sont financés par le CRSH et le FRQSC et elle détient également une bourse du FRQSC pour la réalisation d’un stage en milieu de pratique au Centre d’excellence sur le partenariat avec les patients et le public (CEPPP).

Charles Fontaine est étudiant à la maîtrise en philosophie. Inspiré par ses expériences dans les milieux communautaires, écologistes et culturels, il rédige un mémoire sous la direction de Naïma Hamrouni et Antoine C. Dussault, dans lequel il questionne les relations entre l’éthique de l’environnement et la philosophie de l’écologie. Ses travaux sur les notions d’équilibre et de stabilité de la nature et leurs implications éthiques sont soutenus par le Groupe de recherche en éthique environnementale et animale (GRÉEA). Parallèlement, il mène un projet d’article sur les implications d’une éthique du care en philosophie environnementale, dans lequel il s’intéresse particulièrement aux liens entre les mouvements écoféministes et la pensée écocentriste.

Marie détient un baccalauréat et une maîtrise en ergothérapie de l’UQTR. Elle est ergothérapeute en santé mentale, chargée de cours au département d’ergothérapie de l’UQTR et vice-présidente du comité d’éthique de la recherche volet psychosocial du CIUSSS-MCQ.

Joanie Pothier est enseignante en philosophie au Cégep de Shawinigan depuis août 2011. Elle a terminé son baccalauréat en 2009 à l’UQTR et est maintenant candidate à la maîtrise en philosophie politique à la même université, sous la direction de Naïma Hamrouni. Elle s’intéresse aux rapports entre féminisme majoritaire et féminismes minoritaires dans le contexte québécois. Dans le cadre de sa maitrise, elle examine la pertinence d’envisager le projet de loi 21 (sur la laïcité de l’État) sous la lunette du concept de fémonationalisme.

Martin Vallée a obtenu son diplôme à l’été 2023, et défendu son mémoire intitulé « Les théories contemporaines en ontologie de la race : Éléments fondamentaux pour comprendre la réalité sociale des races de même que les dimensions doxastiques et systémiques du racisme » en juin 2023. Il poursuit maintenant ses activités d’enseignement au Cégep de Shawinigan et se passionne pour l’enseignement des enjeux éthiques et politiques touchant le racisme, le sexisme et le spécisme.