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Présentation du génocide

Génocide des Chams, des Vietnamiens et des Khmers au Cambodge (PDF, nouvelle fenêtre)

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Dans ce monde, je ne suis plus un individu. Je suis sans liberté, sans pensée, sans origine, sans patrimoine, sans droits : je n’ai plus de corps. Je n’ai qu’un devoir : me dissoudre dans l’organisation.

—Témoignage de Rithy Panh, survivant. Panh, R. et C. Bataille (2011). L’Élimination. Paris, Fr : Grasset, p. 89.

S’ils vous demandaient quelque chose et que vous disiez n’importe quoi de répréhensible ou que vous protestiez, ce jour-là vous disparaissiez pour toujours.

—Témoignage de Ka Chu, membre survivant de la minorité ethnique Cham, Kompong Tralach, le 5 septembre 1980, parlant des crimes commis lors de la prise de leur région par les Khmers rouges

Image. Photographie d’enfants soldats recrutés par les Khmers rouges. Crédit : Alan C.

Image. Photographie prise au musée du génocide situé sur le site de l’ancienne prison de Tuol Sleng, près de Phnom Penh. On y voit des portraits de victimes pris au moment de leur incarcération. Crédit : Christian Haugen.

Image. Photographie d’une victime assassinée à la prison de Tuol Sleng. Elle a été faite prisonnière lorsque son mari, un haut gradé de l’armée cambodgienne, a été pris dans les « purges » commises par les Khmers rouges. Crédit : Alan C.

Image. Carte représentant l’extension du Royaume du Cambodge à différentes époques. Crédit : CIA, Wikimedia Commons.

Image. Photographie du mur ensanglanté d’une pagode de Ba Chúc, village du Vietnam du Sud, où 3 157 civils vietnamiens ont été assassinés par les troupes du Kampuchéa Démocratique, le 18 avril 1978. Seules deux personnes ont survécu à cette attaque qui provoqua l’invasion du Cambodge par les forces militaires vietnamiennes. Crédit : Nguyen, T. D., Wikimedia Commons.