Plus c’est évident, plus on a tendance à signaler

Peu importe notre expérience, notre formation ou encore notre histoire personnelle par rapport à la maltraitance, plus les signes de maltraitance sont observables (bleus, marques), plus la tendance à signaler augmente et plus on le fait rapidement. À l’inverse, lorsque les signes sont moins évidents, voire invisibles (ce qui génère de l’incertitude), moins la tendance à signaler est observée (Stipanicic et Boisvert, 2017).

• Est-ce que je suis en train de pallier les impacts vécus par cet enfant en regard de ses besoins de développement?
• À quel niveau se situent mes inquiétudes lorsque l’enfant n’est pas dans mon milieu de garde?
• Quelles sont les différentes émotions que je ressens face aux types de maltraitance évoqués (par exemple, est-ce que j’ai tendance à me positionner plus clairement contre des violences de type sexuel, comme de l’inceste, et à démontrer plus de tolérance face à l’exposition à la violence conjugale?)
• Comment éviter le dialogue avec soi-même, qui retarde bien souvent l’action ou la prise d’une décision?