Un écart important existe entre, d’une part, les connaissances cliniques (symptômes, conséquences, diagnostics) et légales (Loi sur la protection de la jeunesse) et, d’autre part, ce que l’on sait et comprend réellement de ces sujets. Dans les faits, cela signifie que pour une situation X dont le signalement est obligatoire d’un point de vue clinique et légal, le signalement peut sembler facultatif de notre point de vue (en raison de nos croyances, notre compréhension et notre analyse de la situation). (Stipanicic et Boisvert, 2017)