La violence conjugale constitue une perte de contrôle.
La violence conjugale se termine lorsqu’un parent quitte son partenaire.
L’exposition à la violence conjugale préserve l’enfant des impacts puisque les comportements violents ne le visent pas directement.
Les enfants âgés de 0 à 5 ans sont préservés des conséquences de l’exposition à la violence conjugale comme ils ne comprennent pas ce qui se passe et ne s’en souviendront pas.
La violence conjugale précède la maltraitance envers des enfants dans plus de 78 % des situations.
La violence conjugale a de nombreuses conséquences sur la relation entre l’enfant et son parent, que celui-ci soit victime ou auteur de violence.
Il est possible d’entendre des parents et des enfants utiliser les termes « chicanes » et « conflits » pour décrire des situations qui constituent de la violence conjugale.
Il est normal d’observer des ruptures et des reprises de la relation conjugale lorsqu’un parent victime de violence tente de quitter la relation.
Rien ne justifie les comportements violents.
La plupart des enfants vont tenter de protéger le parent qui subit la violence, et ce, même lorsqu’un niveau élevé de violence règne au sein du milieu de vie.
Bravo! Votre réponse est exacte.
Voici les explications :
Il s’agit d’un ensemble d’attitudes et d’actions visant à contrôler et dominer le partenaire. Les actes de violence qui se manifestent ne constituent pas des pertes de contrôle, mais plutôt des tentatives de contrôle et de domination de l’autre. Il est possible de voir différents indicateurs de contrôle chez la personne qui commet la violence conjugale.
Voir l’aide-mémoire des signes de VC et la grille d’appréciation de la dangerosité.
Votre réponse est incorrecte.
Voici la bonne réponse et les explications :
Il s’agit d’un ensemble d’attitudes et d’actions visant à contrôler et dominer le partenaire. Les actes de violence qui se manifestent ne constituent pas des pertes de contrôle, mais plutôt des tentatives de contrôle et de domination de l’autre. Il est possible de voir différents indicateurs de contrôle chez la personne qui commet la violence conjugale.
Voir l’aide-mémoire des signes de VC et la grille d’appréciation de la dangerosité.
Bravo! Votre réponse est exacte.
Voici les explications :
Pour bien des familles, la violence conjugale se prolonge bien au-delà de la rupture. Il est fortement déconseillé de recommander à un parent de quitter son partenaire sans que celui-ci ait eu recours à des services spécialisés en violence conjugale. La séparation peut même représenter un déclencheur d’escalade de la violence et un facteur de risque de dangerosité.
Votre réponse est incorrecte.
Voici la bonne réponse et les explications :
Pour bien des familles, la violence conjugale se prolonge bien au-delà de la rupture. Il est fortement déconseillé de recommander à un parent de quitter son partenaire sans que celui-ci ait eu recours à des services spécialisés en violence conjugale. La séparation peut même représenter un déclencheur d’escalade de la violence et un facteur de risque de dangerosité.
Bravo! Votre réponse est exacte.
Voici les explications :
Les enfants peuvent être exposés à la violence conjugale sous diverses formes et les impacts de cette exposition sont souvent banalisés. Le climat de peur et de tension caractérise souvent l’environnement familial dans lequel les enfants sont contraints de se développer.
Voir « 9 différentes formes d’exposition à la violence conjugale ».
Votre réponse est incorrecte.
Voici la bonne réponse et les explications :
Les enfants peuvent être exposés à la violence conjugale sous diverses formes et les impacts de cette exposition sont souvent banalisés. Le climat de peur et de tension caractérise souvent l’environnement familial dans lequel les enfants sont contraints de se développer.
Voir « 9 différentes formes d’exposition à la violence conjugale ».
Bravo! Votre réponse est exacte.
Voici les explications :
Plus l’enfant est jeune, moins il dispose des capacités émotionnelles et cognitives lui permettant de comprendre la violence à laquelle il est exposé et d’y réfléchir. L’impact de l’exposition à la violence conjugale en bas âge est plus fort et entraîne des conséquences à plus long terme.
Voir les besoins de développement de l’enfant pour comprendre les conséquences de l’exposition à la violence conjugale chez les enfants âgés de 0 à 5 ans.
Votre réponse est incorrecte.
Voici la bonne réponse et les explications :
Plus l’enfant est jeune, moins il dispose des capacités émotionnelles et cognitives lui permettant de comprendre la violence à laquelle il est exposé et d’y réfléchir. L’impact de l’exposition à la violence conjugale en bas âge est plus fort et entraîne des conséquences à plus long terme.
Voir les besoins de développement de l’enfant pour comprendre les conséquences de l’exposition à la violence conjugale chez les enfants âgés de 0 à 5 ans.
Bravo! Votre réponse est exacte.
Voici les explications :
La cooccurrence, soit le fait de retrouver simultanément des situations de violence entre des conjoints et de mauvais traitements à l’endroit des enfants, est fréquente. Plus encore, l’exposition à la violence conjugale précède souvent d’autres types de sévices, dont les abus physiques. La détection de la violence conjugale revêt une importance majeure en matière de prévention de la violence chez les enfants.
Voir les outils de détection.
Votre réponse est incorrecte.
Voici la bonne réponse et les explications :
La cooccurrence, soit le fait de retrouver simultanément des situations de violence entre des conjoints et de mauvais traitements à l’endroit des enfants, est fréquente. Plus encore, l’exposition à la violence conjugale précède souvent d’autres types de sévices, dont les abus physiques. La détection de la violence conjugale revêt une importance majeure en matière de prévention de la violence chez les enfants.
Voir les outils de détection.
Bravo! Votre réponse est exacte.
Voici les explications :
Par exemple, devant les épisodes de violence verbale, l’enfant voit que le parent qui subit la violence conjugale tente de s’expliquer, de calmer son partenaire, de riposter sur le même ton, ou encore, de ne rien dire ou de ne rien faire.
Par exemple, devant les épisodes de violence psychologique, l’enfant voit le parent qui commet la violence conjugale dénigrer son partenaire, lui interdire de fréquenter sa famille et ses ami(e)s, ou encore, menacer de s’en prendre aux enfants.
L’enfant peut blâmer chacun de ses parents pour ce qui arrive. L’enfant peut refuser l’autorité du parent qui subit la violence conjugale et peut avoir peur du parent qui commet la violence conjugale.
Voir la réponse des parents pour comprendre comment la violence conjugale constitue un phénomène qui influence l’exercice du rôle parental et la réponse des parents face aux besoins de leurs enfants.
Votre réponse est incorrecte.
Voici la bonne réponse et les explications :
Par exemple, devant les épisodes de violence verbale, l’enfant voit que le parent qui subit la violence conjugale tente de s’expliquer, de calmer son partenaire, de riposter sur le même ton, ou encore, de ne rien dire ou de ne rien faire.
Par exemple, devant les épisodes de violence psychologique, l’enfant voit le parent qui commet la violence conjugale dénigrer son partenaire, lui interdire de fréquenter sa famille et ses ami(e)s, ou encore, menacer de s’en prendre aux enfants.
L’enfant peut blâmer chacun de ses parents pour ce qui arrive. L’enfant peut refuser l’autorité du parent qui subit la violence conjugale et peut avoir peur du parent qui commet la violence conjugale.
Voir la réponse des parents pour comprendre comment la violence conjugale constitue un phénomène qui influence l’exercice du rôle parental et la réponse des parents face aux besoins de leurs enfants.
Bravo! Votre réponse est exacte.
Voici les explications :
La violence conjugale est souvent banalisée. Les termes « chicanes » et « conflits » peuvent sous-tendre la violence. Toutefois, les conflits conjugaux ne sont pas synonymes de violence conjugale. Lors d’un conflit conjugal, c’est le pouvoir sur la situation qui est recherché. Il peut y avoir présence de différends sur le plan des idées, des valeurs, etc., et d’une possible charge émotionnelle sans que le partenaire ne subisse aucune menace, par exemple.
Voir le tableau violence conjugale-situationnelle-conflits.
Votre réponse est incorrecte.
Voici la bonne réponse et les explications :
La violence conjugale est souvent banalisée. Les termes « chicanes » et « conflits » peuvent sous-tendre la violence. Toutefois, les conflits conjugaux ne sont pas synonymes de violence conjugale. Lors d’un conflit conjugal, c’est le pouvoir sur la situation qui est recherché. Il peut y avoir présence de différends sur le plan des idées, des valeurs, etc., et d’une possible charge émotionnelle sans que le partenaire ne subisse aucune menace, par exemple.
Voir le tableau violence conjugale-situationnelle-conflits.
Bravo! Votre réponse est exacte.
Voici les explications :
L’aspect bien particulier de la violence conjugale est qu’elle survient à l’intérieur d’une relation affective et intime. Or, chaque cycle de violence réduit l’estime de soi du parent. Le parent en vient à croire qu’il mérite ce qui lui arrive; qu’il lui est impossible d’avoir une vie meilleure. En tant qu’éducatrice, qu’éducateur ou RSGE, il est normal de se sentir impuissant(e) devant les nombreuses ruptures survenant dans le cadre d’une relation conjugale violente, et ce, même si le soutien à apporter à la famille doit demeurer constant.
Voir le site SOS violence conjugale(nouvelle fenêtre).
Votre réponse est incorrecte.
Voici la bonne réponse et les explications :
L’aspect bien particulier de la violence conjugale est qu’elle survient à l’intérieur d’une relation affective et intime. Or, chaque cycle de violence réduit l’estime de soi du parent. Le parent en vient à croire qu’il mérite ce qui lui arrive; qu’il lui est impossible d’avoir une vie meilleure. En tant qu’éducatrice, qu’éducateur ou RSGE, il est normal de se sentir impuissant(e) devant les nombreuses ruptures survenant dans le cadre d’une relation conjugale violente, et ce, même si le soutien à apporter à la famille doit demeurer constant.
Voir le site SOS violence conjugale(nouvelle fenêtre).
Bravo! Votre réponse est exacte.
Voici les explications :
La personne qui commet la violence est responsable de ses actes. Aucune situation ni aucun événement ne justifie le recours à la violence. Par exemple, ni la consommation (alcool ou drogue) ni les troubles de santé mentale ne peuvent servir d’excuse à la violence.
Voir les facteurs familiaux et environnementaux du parent qui commet la violence conjugale.
Votre réponse est incorrecte.
Voici la bonne réponse et les explications :
La personne qui commet la violence est responsable de ses actes. Aucune situation ni aucun événement ne justifie le recours à la violence. Par exemple, ni la consommation (alcool ou drogue) ni les troubles de santé mentale ne peuvent servir d’excuse à la violence.
Voir les facteurs familiaux et environnementaux du parent qui commet la violence conjugale.
Bravo! Votre réponse est exacte.
Voici les explications :
L’enfant dispose de très peu de moyens pour dénoncer sa propre victimisation. Il est lié au secret familial. Ce sont aux adultes qui l’entourent d’observer la situation, d’entendre son message et de prendre la parole pour lui. De faire entendre sa voix.
Voir les stratégies familiales pour le maintien du secret de la violence conjugale.
Votre réponse est incorrecte.
Voici la bonne réponse et les explications :
L’enfant dispose de très peu de moyens pour dénoncer sa propre victimisation. Il est lié au secret familial. Ce sont aux adultes qui l’entourent d’observer la situation, d’entendre son message et de prendre la parole pour lui. De faire entendre sa voix.
Voir les stratégies familiales pour le maintien du secret de la violence conjugale.