Chercheurs associés

Nancy Baril, erg., MSc., est professeure clinicienne au Département d’ergothérapie de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR). Elle est responsable de la formation clinique d’étudiants des programmes de baccalauréat et de maîtrise en ergothérapie. Elle supervise des stagiaires à la clinique multidisciplinaire en santé de l’UQTR, notamment dans divers projets collaboratifs avec les milieux de garde, les écoles et les organismes communautaires. Auparavant, elle travaillait au Centre de réadaptation Interval avec une clientèle en déficience physique. Ces intérêts de recherche sont les interventions en ergothérapie auprès des enfants et des adolescents, la réadaptation à base communautaire et la promotion de la santé.

Professeur au département de psychoéducation de l’Université du Québec à Trois-Rivières, Martin Caouette est titulaire de la Chaire Autodétermination et Handicap. De plus, il est chercheur à l’Institut universitaire en DI et TSA et chercheur régulier au Centre interdisciplinaire de recherche en réadaptation et intégration sociale (CIRRIS). Ses travaux de recherche portent sur l’autodétermination des personnes en situation de handicap - principalement celles présentant une déficience intellectuelle ou un trouble du spectre de l’autisme - en contexte résidentiel, socioprofessionnel ou scolaire. Il s’intéresse également aux pratiques des intervenants qui les accompagnent.

Isabelle Falardeau, PhD, est géographe spécialisée en tourisme et professeure en tourisme et développement social au Département d’études en loisir, culture et tourisme de l’UQTR. Ses champs de recherche touchent au tourisme et au développement social, au tourisme durable, au tourisme dans les aires protégées et en milieu naturel, au tourisme en territoire de montagne ainsi qu'aux concepts d'innovation et d'authenticité appliqués au tourisme.

Professeur au Département d'études en loisir, culture et tourisme depuis 2006, Julie Fortier détient une maîtrise en Loisir, Culture et Tourisme de l'Université du Québec à Trois-Rivières et un doctorat en Études urbaines de l'Université du Québec à Montréal. Ses champs d’intérêt sont la concertation, le partenariat, l'action bénévole et les liens intergénérationnels.

Marie-Michèle Lord est professeure au département d’ergothérapie de l’UQTR, chercheuse régulière au Centre de recherche et d’Expertise en Gérontologie sociale (CREGÉS) et co-directrice du Laboratoire interdisciplinaire de recherche en Gérontologie (LIREG). Ses travaux de recherche portent principalement sur le déploiement d’actions intersectorielles favorables à la santé et à la participation sociale des personnes aînées.

La professeure Lyson Marcoux est diplômée en psychologie. Elle est professeure au département d’études de psychologie à l’université du Québec à Trois-Rivières depuis 2014. Sa recherche concerne les questions du loisir, de la santé et du développement positif. Ces intérêts en loisir s'articulent autour de la question du loisir et du développement positif des individus. Elle s'intéresse aux aspects positifs du rôle d'aidant.e et prône le renforcement des moments plaisants dans leur quotidien avec leur proche au travers d'activités de loisir adapté. Elle s'intéresse aussi au soutien à la participation sociale des personnes âgées ainsi qu'au soutien à l'intégration des personnes ayant des incapacités.

Biologiste, muséologue et sociologue spécialisée dans les organisations et la gestion du changement, Aude Porcedda est professeure adjointe au Département d’études en loisir, culture et tourisme à l’Université du Québec à Trois-Rivières depuis 2017, après 10 années consacrées à la recherche en milieu muséal. Impliquée dans la préparation de l’Agenda 21 de la culture du Québec, elle a consacré des travaux importants au rôle du développement durable dans l’organisation des écosystèmes culturels. Très impliquée auprès de la communauté culturelle de la Mauricie, Mme Porcedda possède également un solide réseau de collaboration au niveau national et international. Auteure de monographies et d’articles consacrés à la gestion culturelle et à la gouvernance, elle dirige également chez l’éditeur Hermann (Paris) la collection 21 consacrée aux enjeux contemporains de la culture.

Anick Sauvageau, erg., MRéad., est professeure clinicienne au Département d’ergothérapie de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) et directrice du comité de programme de premier cycle en ergothérapie. Elle a supervisé plusieurs stagiaires à la clinique multidisciplinaire en santé de l’UQTR, notamment dans divers projets collaboratifs avec les organismes communautaires de la région de la Mauricie et Centre du Québec. Avant d’être professeure à l’UQTR, elle a travaillé près de 20 ans au Centre de réadaptation Interval avec une clientèle en déficience physique adulte. Maintenant étudiante au doctorat en sciences biomédicales de l’UQTR ses intérêts de recherche concernent l’inclusion sociale des personnes vulnérables, l’établissement de rapports sociaux égalitaires et la promotion de la santé.

Professeur au Département d’ergothérapie à l’Université du Québec à Trois-Rivières, Pierre-Yves Therriault détient un Ph.D. en Sciences biomédicales. Ergothérapeute et ergonome certifié, il s’intéresse à la conception de situations d’activités qui permettent un exercice fructueux de la pensée humaine, qui présentent des difficultés traitables et intéressantes et qui favorisent le développement des compétences. Ses pratiques, clinique et de recherche, ont toujours été orientées vers l’actualisation de la personne en lien avec les sources d’empêchement dans l’environnement. Ainsi, ses intérêts en recherche concernent le vieillissement et le travail, les transitions de vie, la prévention de la santé (mentale et physique) au travail, la résilience des organisations, les trajectoires identitaires vocationnelles, la recherche en partenariat avec les acteurs concernés par les pratiques évaluées, le travail d’équipe, la coopération et la collaboration, la compréhension des systèmes complexes et évaluation des logiques d’action qui contraignent ou favorisent la mise en place de pratiques innovatrices.

Teresa Freire est professeure au département de psychologie de l'Université de Minho à Braga au Portugal. Ses recherches se concentrent sur le développement positif et le fonctionnement optimal à travers le prisme de la psychologie positive, et visent à étudier la qualité de l’expérience subjective dans la vie quotidienne, en croisant les variables personnelles et contextuelles. Les sujets incluent: le bien-être, le bonheur, l’expérience optimale, étudié à travers différents contextes de vie dont le loisir. Des mesures rétrospectives (échelles) et en temps réel (méthode d’échantillonnage de l’expérience - ESM) sont utilisées.

Le professeur Aggée Célestin Lomo Myazhiom, historien et socio-anthropologue, titulaire de l’habilitation à diriger des recherches (HDR) en sociologie, est maître de conférences à l’université de Strasbourg, après avoir enseigné à l’université de Dschang (Cameroun). Il a été Visiting Professor à la Tokyo University of Science (Japon) et Visiting Researcher and Professor au Research Institute for Languages and Cultures of Asia and Africa (ILCAA, TUFS, Japon). Il est Global Associate de la Tokyo University of Foreign Studies et directeur de la publication de la revue pluridisciplinaire de sciences humaines Histoire et Anthropologie.

Le professeur Frédéric Reichhart est maître de conférences en sociologie à l’Institut national supérieur de formation et de recherche pour l'éducation des jeunes handicapés et les enseignements adaptés (INSHEA) depuis 2012, où il dirige le master Conseiller en accessibilité et accompagnement de publics à besoins particuliers. Membre du Groupe de recherche sur le handicap, l’accessibilité et les pratiques éducatives et scolaires (GRHAPES), ses travaux de recherche portent sur les représentations sociales du handicap dans l’espace francophone ainsi que sur l’accessibilité, notamment dans le domaine touristique et culturel.

Professeure titulaire à l’École de Travail social de l’Université de Sherbrooke, titulaire de la Chaire de recherche sur la maltraitance envers les personnes aînées financée par le gouvernement du Québec et chercheure au Centre de recherche sur le vieillissement sis au Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux de l’Estrie-Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke (CIUSSS Estrie-CHUS). Marie Beaulieu détient une maîtrise en Criminologie de l’Université de Montréal et un doctorat en Sciences humaines appliquées à l’Université de Montréal. Ses domaines de recherche et d’intérêt sont la gérontologie sociale/sociologie du vieillissement, la maltraitance envers les personnes aînées, l’âgisme, la victimisation des aînés, l’insécurité des aînés, la participation sociale des aînés, la défense des droits des aînés, les méthodes qualitatives, la recherche-action, les démarches participatives, l’éthique, les politiques publiques et le développement de guides de pratique.

Professeur-chercheur agrégé à l’Université du Québec à Chicoutimi, Tommy Chevrette est également directeur de la Clinique universitaire de kinésiologie de l’UQAC. Il détient une maîtrise en Sciences de l’activité physique option Activités physique à l’Université de Laval et un doctorat en Sciences biomédicales option sciences psychiatrique. Kinésiologue s’intéressant à l’impact de la psychomotricité et du développement moteur sur le développement global chez les 0-18 ans et l’impact de déterminants physiques et psychologiques sur les saines habitudes de vie.

Marie Grandisson est professeure en ergothérapie à l’Université Laval. Son bagage en santé communautaire influence grandement les travaux qu’elle mène pour favoriser le développement de communautés plus inclusives des enfants présentant une déficience intellectuelle ou un trouble du spectre de l’autisme. Elle dirige des projets sur les manières de favoriser l’inclusion sociale à travers les activités physiques et sportives. Elle s’intéresse aussi aux interventions permettant de renforcer la capacité des familles et des intervenants à créer des environnements inclusifs favorables au déploiement du plein potentiel des enfants présentant des besoins particuliers. Elle utilise des méthodologies participatives pour favoriser la contribution des personnes présentant des limitations aux projets de recherche.

Professeure adjointe à l’École des sciences infirmières de la Faculté des sciences de la santé de l’Université d’Ottawa, Sandra Harrisson a fait ses études doctorales sur la déshospitalisation psychiatrique au sein de la communauté francophone est-ontarienne. Avant de se joindre à l’équipe professorale d’Ottawa, elle a occupé un poste de professeur régulier à l’Université du Québec de Trois- Rivières (UQTR). De plus, elle est étroitement impliquée en tant que responsable du volet implantation de l’Approche par le Plaisir dans les services et les soins (APSS), volet santé. Ses intérêts de recherche sont l’histoire de la médecine, l’histoire de la psychiatrie, la gérontopsychiatrie, la chronicité des troubles de santé mentale, le parcours de vie, la théorie critique féministe et la recherche-action.