Chercheurs collaborateurs

John Dattilo, PhD, est professeur de gestion des loisirs, des parcs et du tourisme à Penn State University, où il enseigne dans une perspective appliquée, philosophique et éthique. Il est l'auteur de plusieurs éditions de « Inclusive Leisure Services » et « Leisure Education Program Planning » et co-auteur de Facilitation Techniques in Therapeutic Recreation et Application of Behavior Analysis in Leisure Contexts. Pendant 35 ans, il a mené des recherches interdisciplinaires avec un double objectif : (a) offrir un forum aux personnes victimes d'oppression pour qu'elles puissent s'exprimer, et (b) trouver des moyens d'aider les autres à négocier les contraintes liées aux loisirs afin d'augmenter les chances que leur vie ait un sens et soit heureuse.

Adrienne Johnson est chargée de cours en loisir thérapeutique et responsable des stages à l'Université de l'Iowa depuis quatre ans. Elle est spécialiste certifiée en loisirs thérapeutiques (CTRS) et spécialiste certifiée en exercices contre le cancer par l'UNCCRI. Elle milite en faveur des loisirs inclusifs, présentant des exposés sur le sujet lors de conférences dans l'État de l'Iowa et au niveau régional, lors du « Midwest Symposium on Therapeutic Recreation », et à l’international. Ses affiliations professionnelles incluent son rôle de présidente élue au sein du conseil d'administration de l’« Iowa Therapeutic Recreation Association » et occupe un poste de comité local auprès du « Special Olympics Iowa ». Avant sa nomination à l'université, elle cumule dix ans d'expérience en tant qu'administratrice dans le domaine des services de loisirs inclusifs.

Professeur agrégée au département d’études en loisir, culture et tourisme de l’UQTR spécialisée en aménagement des équipements de loisir, Sylvie Miaux détient un post-doctorat transdisciplinaire en santé publique et communautaire et un doctorat en géographie et aménagement (PAU). Ses intérêts de recherche sont sur l’expérience du sujet en mouvement, l’aménagement d’espaces favorables à la marche, au transport actif, le développement d’espaces récréo-actifs, la santé : redonner de la place aux corps en mouvement en ville (touristes, flâneurs, etc.) aux capacités physiques différentes en travaillant sur les indicateurs de choix du parcours afin de cerner ce qui motive ou contraint les corps durant les déplacements.