La mission de l’IRH s’est élargie au cours des ans pour englober l’efficacité énergétique, les piles à combustible, les systèmes d’énergie et de transport intelligents et l’utilisation de nouveaux matériaux pour répondre aux enjeux énergétiques de demain.
Alfred Kastler et Gerhard Herzberg en compagnie de Tapan Bose, lors du colloque « Optique et laser »
Le 13 janvier 1993, la construction de l'institut de recherche sur l'hydrogène est annoncée. Les travaux de construction de l’institut ainsi que du premier centre d'essais débutent à l'automne 1994
Construction de la fondation pour l’éolienne.
Installation de l’éolienne.
1994 - travaux de construction en cours.
De gauche à droite : Jacques Goyette, Raymond Couteau, Pierre Bénard, Daniel Cossemont, Tapan K. Bose – Directeur de l’IRH, Jean-Marie St-Arnaud.
Test de l’électrolyseur (de gauche à droite : Daniel Cossemont, Kodjo Agbossou, Alain Tessier)
En 2021, Le Professeur Dr. Bruno G. Pollet qui est reconnu mondialement comme expert en hydrogène s’est joint à l’IRH. Dans la même année, il a été nominé l’un des co‑directeurs de l’IRH et directeur du Laboratoire sur l’Hydrogène Vert
En 2019, le professeur Pierre Bénard a succédé au professeur Chahine à la direction de l'Institut.
En 2012, une station de remplissage à l'hydrogène est érigée à côté de l'Institut.
En janvier 2005, le professeur Richard Chahine prend la relève du docteur Bose à la direction de l'Institut. Décédé en janvier 2008, le docteur Bose aura vu le pavillon de l'IRH devenir le pavillon Tapan K. Bose.
Au printemps 2000, l'IRH continue de façonner le paysage du campus trifluvien en élevant une éolienne de 10 kW à proximité de l'Institut. À l'été 2001, un second centre d'essais est inauguré.
En décembre 1995, l'équipe emménage dans ses nouveaux locaux.
Le professeur Bose est charmé par l'idée d'un institut voué à la recherche en hydrogène et s'implique activement dans ce projet. Dès mai 1989, le projet est présenté dans un sommet socioéconomique à Victoriaville, et se classe au premier rang des 90 projets retenus. Convaincu qu'on ne peut déployer un institut de recherche universitaire à plus de 50 kilomètres du campus, le professeur réalise aussi que les locaux du Groupe de recherches sur les diélectriques (GRD), situés au sous-sol du pavillon Pierre-Boucher de l'UQTR, sont trop restreints pour accueillir un programme de recherche ambitieux en hydrogène. Au final, il est impératif de bâtir, sur le campus, un nouveau pavillon dédié à la recherche en hydrogène.
Le professeur Bose multiplie dès lors les rencontres avec les intervenants fédéraux, provinciaux et régionaux, et réussit à sensibiliser ses interlocuteurs à la nécessité de la recherche en hydrogène. En mai 1992, dans le cadre d'une table de concertation régionale sur l'économie à Drummondville, le gouvernement du Québec s'engage à investir 1,25 million de dollars dans le projet. Le gouvernement fédéral contribue également à la hauteur de 2,7 millions de dollars.
Le 13 janvier 1993, on annonce la construction de l'Institut de recherche sur l'hydrogène, et les travaux de ce dernier et d'un premier centre d'essais débutent à l'automne 1994.
L'inauguration publique a lieu le 10 avril 1996 devant le ministre de Ressources naturelles du Québec, M. Guy Chevrette et le secrétaire d'état fédéral, M. Martin Cauchon.