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La réflexion stratégique est une composante cruciale de la réalisation de la stratégie d’affaires des organisations. Bien que ce concept ait longtemps été associé aux grandes organisations, plusieurs OBNL assurent maintenant sa mise en œuvre. Bien que les moyens dont ils disposent soient nettement inférieurs à ceux des grandes entreprises, les OBNL se montrent créatifs et innovants pour y parvenir.

Au Québec, on connaît bien notre sirop d’érable, mais n’a-t-on pas des secrets qui permettraient de lui donner une facette plus festive? Tel est l’enjeu de ce cas. Des produits pouvant se comparer à des vins ou des boissons apéritives ou de repas ont été élaborés par La ferme du loup : les succès dans les dégustations ont été généreux.

Mais il est maintenant temps de dépasser les essais et les bonnes appréciations pour prendre une place dans le marché des boissons de type vin, marché dans lequel la concurrence se montre rude, notamment en raison de la présence des géants tant européens (LVMH par exemple) qu’américains (Gallo).

24 % des émissions de gaz à effet de serre dans le monde sont liées au transport; cette proportion dépasse les 40 % dans de nombreux pays développés. Ainsi, l’adoption de véhicules électriques pour se mouvoir est essentielle à la transition écologique. Comment favoriser l’adoption de ces véhicules innovants? Telle est la question que se pose la jeune pousse Theron, qui développe des véhicules hors (VHR) route électriques.

Afin de répondre à cette question, vous trouverez dans ce cas de nombreuses informations qui proviennent de l’entreprise et des écrits émanant de la recherche sur le sujet, et ce, offerts dans différents formats (texte, diaporamas numériques, hyperliens, etc.).

Étant donné la jeunesse de l’entreprise nous n’avons pas encore la réponse à cette question; ainsi, différentes opinions peuvent être considérées pertinentes.

Comment répondre aux besoins en produits frais en minimisant les coûts circulaires? Telle la « main invisible » d’Adam Smith harmonisant les « nécessités » de chacun en servant les intérêts de tous, les Fermes LUFA équilibrent les demandes et l’offre en produits frais, tout en réduisant les dégradations faites à l’environnement.

Face au manque de terre cultivables, les Fermes LUFA ont adopté une approche novatrice en cultivant en toiture. En combinant la technologie hydroponique et la culture en serre sur les toits des bâtiments, elles parviennent à cultiver des fruits, des légumes et d'autres produits frais en plein cœur de la ville, tout en limitant la consommation en eau et sans avoir recours à l’usage de pesticides et d’engrais chimiques.

Ce concept audacieux permet de rapprocher les consommateurs des sources de production alimentaire, tout en réduisant l'empreinte carbone.

GutsyGeek est un site internet qui propose aux hommes des cours en ligne pour devenir un expert en séduction ou, du moins, progresser dans ce domaine.

Ce genre de formation particulière est entouré d’un certain nombre de tabous qui freinent la participation des internautes à la promotion de GutsyGeek.

Au travers de ce cas, les lecteurs sont invités à se questionner sur une stratégie de marketing numérique qui intègre les contraintes liées aux tabous.

Deux entrepreneurs comptent utiliser les résidus de microbrasserie afin de développer une gamme de soins de beauté. Mais cette récupération génère des coûts et les entrepreneurs doivent s’adapter.

Les fabricants de bière utilisent des grains que l’on ne retrouve pas dans le produit final. Les microbrasseries se sont multipliées ces dernières années et cette industrie génèrent beaucoup de déchets. D’après nos estimations, pour 25 kilos de grains, on obtient 100 litres de bière et entre 20 et 22 kg de drêches inutilisée.

Deux jeunes entrepreneurs voient dans cette situation une opportunité d’obtenir une matière première gratuite et accessible au Québec. Pourquoi ne pas se lancer en affaires? Après tout, des recettes de grand-mère ne proposent-elles pas de se verser de la bière sur les cheveux afin d’en améliorer le brillant?

Mais la réalité est plus contrastée...

Les murs des immeubles et des maisons possèdent fréquemment un revêtement en briques. Or, avec le temps, les intempéries, les mouvements du sol et de la structure endommagent la maçonnerie extérieure. Certes, il est possible de réparer le mur après avoir nettoyé minutieusement les briques en bon état et remplacé celles qui sont fissurées ou éclatées.

Un briqueteur expérimenté peut aisément réaliser le travail, à condition toutefois qu’on parvienne à retrouver quelques briques fabriquées dix, vingt, ou trente ans auparavant! Comme il s’agit la plupart du temps d’un défi de taille, cela explique qu’il y ait bel et bien une demande sur le marché pour les briques usagées. Autrement dit, plusieurs entrepreneurs ont en fait besoin de réparer des briques!

L’entreprise RéparBrik se propose de recycler vos briques. Cependant, certaines contraintes nous incitent à nous demander s’il s’agit bien d’une opportunité circulaire.