Catherine détient un baccalauréat en psychologie, de même qu’un certificat en études féministes et un microprogramme en droit de l’Université de Montréal. Elle est actuellement étudiante à la maîtrise en science politique à l’Université de Montréal. Son mémoire de maîtrise, sous la direction de Pascale Devette, porte sur la crédibilité accordée à l’expérience de la douleur chronique et aux conséquences des injustices épistémiques dans le parcours de soin des individus. Ses travaux de recherche à la maîtrise sont financés par le CRSH et le FRQSC et elle détient également une bourse du FRQSC pour la réalisation d’un stage en milieu de pratique au Centre d’excellence sur le partenariat avec les patients et le public (CEPPP).

Charles Fontaine est étudiant à la maîtrise en philosophie. Inspiré par ses expériences dans les milieux communautaires, écologistes et culturels, il rédige un mémoire sous la direction de Naïma Hamrouni et Antoine C. Dussault, dans lequel il questionne les relations entre l’éthique de l’environnement et la philosophie de l’écologie. Ses travaux sur les notions d’équilibre et de stabilité de la nature et leurs implications éthiques sont soutenus par le Groupe de recherche en éthique environnementale et animale (GRÉEA). Parallèlement, il mène un projet d’article sur les implications d’une éthique du care en philosophie environnementale, dans lequel il s’intéresse particulièrement aux liens entre les mouvements écoféministes et la pensée écocentriste.

Marie détient un baccalauréat et une maîtrise en ergothérapie de l’UQTR. Elle est ergothérapeute en santé mentale, chargée de cours au département d’ergothérapie de l’UQTR et vice-présidente du comité d’éthique de la recherche volet psychosocial du CIUSSS-MCQ.

Après avoir obtenu un baccalauréat en philosophie à l’Université Méthodiste de Sao Paulo et une maîtrise en enseignement, histoire, philosophie de la science et des mathématiques à l’Université Fédérale de l’ABC à Sao Paulo, Clara est désormais, doctorante en philosophie politique à l’Université Paris Cité sous la direction de Guillaume Le Blanc. Sa thèse porte sur l’étude des processus de résistance politique du corps féminin face à la violence et à la domination de la société patriarcale. Elle a publié des chapitres de livres publiés par la maison d’édition des universités au Brésil, au Portugal et en Espagne. Elle a publié des articles de revues scientifiques et récemment, a co-édité le livre Les violences de genre en temps de covid-19, paru en avril 2023. Clara est actuellement en stage de recherche à l’Université du Québec à Trois-Rivières sous la direction de Naïma Hamrouni.

Valérie a toujours été préoccupée par les enjeux écologiques et c’est ce qui l’a menée à étudier, dans son projet de maîtrise en ergothérapie, les pratiques durables actualisées et envisagées par les ergothérapeutes du Québec. Désormais, elle est candidate au doctorat en philosophie, concentration en éthique appliquée, sous la direction de Marie-Josée Drolet. Elle s’intéresse plus précisément aux expériences de justice et d’injustice vécues par les personnes en situation de vulnérabilité face à la crise climatique et à l’impact de l’interaction des différents systèmes d’oppression sur ces expériences. Enfin, Valérie s’implique à titre de membre fondatrice dans la Communauté ergothérapique engagée pour l’équité et l’environnement (C4E).

Morgane détient une Licence de philosophie ainsi qu’un Master de Philosophie des Pratiques de l’Université de Besançon (France). Ses intérêts de recherche portent sur les imaginaires contemporains, qu’elle travaille à partir d’objets issus de la culture populaire.