Étudiante au doctorat recherche et intervention en psychologie à l’Université du Québec à Trois-Rivières, sous la codirection de Benjamin Boller et Annick Parent-Lamarche. Catherine est membre étudiante du groupe de recherche CogNAC. Dans le cadre de sa thèse doctorale, elle explore le rôle de la réserve cognitive dans la relation entre la prise de retraite et le déclin cognitif.
Sensible aux enjeux liés au vieillissement, ses intérêts de recherche sont centrés sur l'identification des facteurs sociaux et environnementaux qui influencent le déclin cognitif chez les personnes âgées.
Maxime Hébert
Maxime est doctorant en psychologie (profil recherche) à l’Université du Québec à Trois-Rivières sous la direction de Lyson Marcoux. Sa thèse porte sur le fonctionnement familial et la santé mentale des agriculteurs. Il est aussi chargé de cours dans différents départements de l’UQTR pour enseigner les méthodes de recherche, le développement humain et les interventions auprès des familles. Ses intérêts de recherche sont les suivants : fonctionnement familial, santé mentale dans les communautés rurales, l’approche systémique et le développement humain. Enfin, il travaille avec les devis quantitatifs et qualitatifs.
Maxime Ouellet Algerson
Issu du domaine de la physiothérapie, Maxime poursuit un doctorat clinique en psychologie à l’Université du Québec à Trois-Rivières, sous la direction de Guillaume Vallet. Il a été mentor pendant deux années consécutives pour le cours Méthodes de recherche en psychologie I, au baccalauréat, où il assurait un accompagnement régulier auprès des étudiant·es. Ses intérêts de recherche portent sur la cognition sociale, la perception, les stéréotypes et la discrimination. Pour son essai doctoral, il explore les liens entre l’âgisme, l’empathie, l’orientation à la dominance sociale et l’autoritarisme au sein de la population générale.
Benoit Plante
Information à venir.
Manon Saucier
Manon est doctorante en psychologie, profil recherche, concentration en études familiales a l’Université du Québec à Trois-Rivières. Sous la direction de Julie Lefebvre, elle fait partie du laboratoire Centre d’études interdisciplinaires sur le développement de l’enfant et de la famille (CEIDEF). Sa thèse porte sur les femmes victimes des violences conjugales jusqu’aux féminicides.
William Trottier-Dumont
William est étudiant au doctorat en psychologie à l’Université du Québec à Trois-Rivières, il est supervisé par Ève-Line Bussières et Chantal Cyr. Son projet de thèse est sur l’attachement des enfants autistes. De façon plus large, les intérêts de William porte sur le développement de l’enfant, les conditions neurodéveloppementales, les statistiques ainsi que les enjeux méthodologiques.