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Chaire du Canada en Éthique féministe
sur la vulnérabilité, les inégalités relationnelles
et les injustices structurelles

L'équipe

Membres actuel.les

Federica Berdini
Postdoctorat

Federica détient un doctorat de l’Université de Bologne, Italie. Elle est chercheuse postdoctorale au Centre for Ethics de l’Université de Toronto. Auparavant, elle était chercheuse postdoctorale au Centre de recherche en éthique, au Groupe de recherche interuniversitaire sur la normativité et à la Chaire de recherche du Canada en éthique féministe. Ancrés dans la philosophie de l’action, ses travaux abordent la manière dont l’agentivité est maintenue en période d’épreuve émotionnelle et psychologique, notamment lors de l’utilisation de stratégies de coping.

Lila Braunschweig
Membre associée
Postdoctorat

Lila est docteure en science politique (mention théorie politique) de Sciences Po Paris où elle a enseigné la philosophie politique et la théorie féministe. En 2019-2020, elle a été Fox International Fellow à l’Université de Yale. Ses recherches se situent dans le champ des philosophies féministes et queers. Lila s’intéresse notamment à la façon dont les normes de genre conditionnent nos existences, et aux différentes stratégies imaginées pour les transformer. Durant son stage postdoctoral à la CREF et au CRÉ, de septembre 2022 à août 2023, sous la supervision de Naïma Hamrouni, elle a travaillé à l’élaboration d’une théorie de la suspension des assignations et catégorisations genrées comme tactique d’altération des normes, et à ses implications dans les sphères éthique, juridique, et politique. En 2021, elle a publié Neutriser: Émancipations par le neutre aux éditions Les liens qui libèrent.

Elle est actuellement maîtresse de conférence et chercheuse à l'Institute for cultural inquiry (ICON) de l'Université d'Utrecht où elle enseigne la culture, la littérature et la philosophie françaises contemporaines, en particulier les questions politiques, de genre et postcoloniales.

Marie-Anne Casselot-Legros
Membre associée
Doctorat

Marie-Anne est doctorante en philosophie féministe à l'Université Laval sous la direction de Donald A. Landes. Elle détient une maîtrise en philosophie de l'Université McGill et un baccalauréat en philosophie de l'UQAM. Dans ses travaux, elle soutient que la domination s'inscrit au cœur de la subjectivité des sujets incarnés, notamment dans le comportement spatial. Elle co-écrit présentement un ouvrage d'introduction à la philosophie féministe avec Cécile Gagnon. Elle a également co-édité le livre Faire partie du monde : Réflexions écoféministes avec Valérie Lefebvre-Faucher paru en 2017 aux éditions du Remue-ménage. Elle a publié des articles scientifiques dans les revues Recherches féministes et Symposium : Revue canadienne pour la philosophie continentale.

Emmanuelle Chartrand
Membre régulière
Maîtrise

Emmanuelle Chartrand est étudiante à la maîtrise en psychoéducation à l'Université du Québec à Trois-Rivières. Elle détient un baccalauréat en psychologie et un baccalauréat en psychoéducation. C’est au cours de ses expériences d'intervention auprès de différents groupes qu’apparaissent des questionnements liés à la posture de la personne intervenante en relation d’aide. Son projet de mémoire et ses intérêts de recherche gravitent autour de la question du sens en intervention psychosociale et des pratiques d'accompagnement sensibles et porteuses de justice épistémique.

Louis-Pierre Côté
Membre régulier
Doctorat

Après avoir réalisé une maîtrise en philosophie sur les revendications du mouvement « Gay Shame » et la honte comme forme d’oppression internalisée dans le contexte de sociétés hétéronormatives, Louis-Pierre poursuit des études doctorales sous la direction de Naïma Hamrouni. Dans sa thèse, il s’inspire de pensées féministes, queers et antiracistes afin de s’intéresser aux oppressions vécues par les personnes marginalisées au sein du complexe industriel carcéral occidental.

Louis-Pierre est actuellement auxiliaire de recherche à la CREF.

Frédéric Côté-Boudreau
Postdoctorat

Frédéric a obtenu un doctorat en philosophie à Queen’s University et une maîtrise en philosophie à l’Université de Montréal. Sa thèse doctorale a défendu le droit à l’autonomie pour les animaux non humains et les personnes ayant une déficience intellectuelle, traitant au passage des thèmes des préférences adaptatives, de l’autonomie relationnelle et du paternalisme. Il a également écrit sur la théorie de la citoyenneté animale et sur les liens entre le capacitisme et le spécisme. Ses recherches actuelles se concentrent sur l’inclusion des animaux non humains au sein des théories politiques. Enfin, il enseigne la philosophie au Collège Montmorency, siège sur le conseil d’administration de la SPCA de Montréal et coorganise les Estivales de la question animale au Québec.

Anne-Marie Gagné-Julien
Boursière postdoctorale à la Chaire
Postdoctorat

Anne-Marie a complété un doctorat à l’Université du Québec à Montréal, sous la direction de Luc Faucher (UQAM) et Maël Lemoine (Université de Bordeaux).  Sa thèse de doctorat, intitulée « Vers une définition socialement construite et objective du trouble mental », porte sur l’objectivité du concept de trouble mental et sur le débat entourant le problème de la médicalisation en psychiatrie. Elle a ensuite été boursière postdoctorale (FQRSC) à l’Unité d’éthique biomédicale de l’université McGill, sous la supervision de Phoebe Friesen et en co-supervision à l’École normale supérieure, sous la supervision de Stéphanie Ruphy, puis chercheuse postdoctorale à la Chaire de recherche du canada sur les injustices et l'agentivité épistémiques (CRC-IAE) et au Centre de recherche en éthique (CRÉ), sous la supervision d'Amandine Catala. Elle est actuellement chercheuse postdoctorale CRSH au département d'Équité, d'éthique et de politiques de l'Université McGill, à la Chaire de recherche du Canada en éthique féministe (CREF) et au CRÉ, supervisée par Phoebe Friesen et Naïma Hamrouni.

Ses intérêts de recherche se situent à l’intersection de la philosophie et de l’éthique de la psychiatrie, de la philosophie féministe des sciences et de l’épistémologie sociale. Une grande partie de ses travaux interrogent le processus de révision du Manuel diagnostic et statistique des troubles mentaux (DSM) et ses présuppositions épistémiques et éthiques. Elle s’intéresse également aux injustices épistémiques et à la manière dont elles peuvent survenir lors des processus de médicalisation et de catégorisation en psychiatrie biomédicale. Un autre de ses champs de recherche concerne les différentes formes d’activisme en psychiatrie et leur compatibilité avec le caractère scientifique de cette discipline.

Cécile Gagnon
Membre associée
Doctorat

Cécile est doctorante en philosophie à l’Université de Montréal. Ses principaux intérêts de recherche sont les théories féministes et, plus particulièrement, les éthiques du care et les approches beauvoiriennes. Ses travaux visent mettre en lumière le croisement de différents rapports de domination et d’appropriation des corps féminins, du travail de care et des ressources naturelles à l’aune d’une approche méthodologique non idéale à la fois éthique et phénoménologique. Parallèlement, elle est chargée de cours en philosophie féministe à l’Université de Montréal.

Laurie Gagnon-Bouchard
Membre associée
Doctorat

Après avoir complété un baccalauréat en science politique à l’Université Laval et une maitrise en sociologie à l’UQAM, Laurie Gagnon-Bouchard est étudiante au doctorat en philosophie à l’UQTR. Elle est également membre et auxiliaire de recherche au RéQEF et coresponsable du comité écoféministe de la Fédération des femmes du Québec. Elle est également chargée de cours (cours « Les écoféminismes ») à l’UQAM. Elle s’intéresse aux rapports — construits tant dans la théorie que dans la pratique — à la nature. À partir d’une perspective alliant l’écoféminisme, la pensée décoloniale et les éthiques du care et de la vulnérabilité, elle travaille sur les enjeux liés à la justice environnementale et aux conditions de solidarités et de coalitions. Ses recherches portent également sur la logique de maîtrise héritée de la modernité et les conditions de sa déconstruction.

Léon Gatien
Membre associé
Maîtrise

Léon détient un certificat en psychologie ainsi qu’un baccalauréat en philosophie réalisés à l’Université de Sherbrooke. Ses principaux intérêts de recherche couvrent la philosophie décoloniale, l’épistémologie sociale, les éthiques animales et de l’environnement, ainsi que les mouvements politiques de gauche. Dans le cadre de son mémoire de maîtrise, réalisé à l’UQTR sous la direction de Naïma Hamrouni et Claude Gélinas, il s’intéresse au concept d’animalisation, plus particulièrement à son rôle différencié dans la colonisation de l’Amérique du Nord par les peuples britanniques et français. Ce travail vise entre autres l’atteinte d’une meilleure compréhension des manières dont le spécisme pourrait avoir contribué au régime de pouvoir développé au détriment des peuples autochtones habitant le Québec d’aujourd’hui. Léon est également assistant de recherche à la Chaire de recherche du Canada en épistémologie pratique et conseiller en éthique à la Commission de l’éthique en science et en technologie.

Audrey Ghali-Lachapelle
Membre régulière
Doctorat

Audrey Ghali-Lachapelle est candidate au doctorat en philosophie dans la concentration d’éthique appliquée à l'Université du Québec à Trois-Rivières. Elle se spécialise en éthique de la sexualité et plus précisément sur les concepts de consentement, de désir et de plaisir. Sa thèse s’intitule: Penser l’expérience du sexe injuste comme aliénation épidémique. Elle y défendra qu’un système épistémique oppressif de la sexualité implique nécessairement des conséquences éthiques désastreuses, notamment pour les personnes issues des minorités sexuelles. 

Naïma Hamrouni
Titulaire

Détentrice d’un doctorat en philosophie de l’Université de Louvain et de l’Université de Montréal ainsi que d’un postdoctorat en éthique féministe et justice raciale du Simone de Beauvoir Institute de l’Université Concordia, Naïma est professeure d’éthique appliquée au Département de philosophie et des arts de l’UQTR depuis 2017. Elle est membre régulière du Centre de recherche en éthique, du Centre de recherche sur la diversité et la démocratie et membre collaboratrice du Réseau québécois en études féministes. Ses travaux actuels rejoignent les axes de recherche de la Chaire de recherche du Canada en éthique féministe.

Anne Iavarone Turcotte
Boursière postdoctorale
Postdoctorat

Anne Iavarone-Turcotte est avocate, docteure en droit et chercheuse postdoctorale au Graduate Center de la City University of New York (CUNY). Elle a été chercheuse postdoctorale à la CRÉF de septembre 2023 à août 2024. Ses travaux actuels  à la CUNY sont supervisés par la philosophe Serene Khader et financés par le Réseau québécois en études féministe (RéQEF), le Conseil de recherches en sciences humaines du gouvernement du Canada (CRSH) et le Fonds de recherche société et culture du gouvernement du Québec (FRQSC). Les recherches d’Anne portent sur le paradigme du choix dans les débats féministes, et en particulier dans les débats sur les pratiques sociales, culturelles ou religieuses comportant un potentiel d’oppression sexiste. Sa thèse de doctorat a reçu le prix Minerve des Presses de l’Université Laval (accompagné d’une publication au sein de la collection du même nom), le prix de l’Association des doyennes et des doyens des études supérieures au Québec (ADDESAQ), la médaille d’or du Gouverneur général du Canada et le prix de l’Association des ancien.nes de McGill, en plus d’avoir été classée au deuxième rang (mention d’honneur) du concours annuel de l’Association des professeures et professeurs de droit du Québec (APDQ). En parallèle de ses activités de recherche, Anne s’implique dans le milieu communautaire.

Cassandre Lavigne
Membre régulière
Doctorat

Cassandre détient un Diplôme d’État (licence) en ergothérapie, ainsi qu’un Master de recherche en santé publique de l’Université de Limoges. Elle poursuit actuellement ses études à l’Université du Québec à Trois-Rivières au doctorat en philosophie, concentration en éthique appliquée sous la co-direction de Marie-Josée Drolet et Naïma Hamrouni. Elle s'intéresse à l’identité occupationnelle et les différentes formes d’injustices occupationnelles et structurelles selon une perspective humaniste, intersectionnelle et féministe.

Cassandre est actuellement coordinatrice des activités et auxiliaire de recherche à la CREF.

Emma Losier-Bédard
Membre associée
Maîtrise

Emma est sexologue et étudiante à la maîtrise en sexologie à lUniversité du Québec à Montréal (UQÀM), sous la direction de Sylvie Lévesque. Son projet de mémoire porte sur les expériences de violences obstétricales et gynécologiques vécues par des personnes vivant avec des enjeux de santé mentale et des personnes autistes. Elle est également auxiliaire de recherche dans le Laboratoire de recherche sur la santé reproductive et les violences à l’UQÀM. Au printemps 2024, elle est stagiaire en recherche à la Chaire de recherche du Canada en éthique féministe sous la supervision principale d’Audrey Ghali-Lachapelle, avec l’assistance de Naïma Hamrouni, pour réaliser une bibliographie commentée sur la notion de « sexe injuste » développée par la philosophe féministe Ann Cahill et les usages de la notion de vulnérabilité en philosophie de la sexualité.

Véronique Pronovost
Membre régulière
Doctorat

Véronique est doctorante en sociologie et en études féministes à l'Université du Québec à Montréal (UQAM). Elle s’intéresse à l’antiféminisme conservateur aux États-Unis et au Canada. Plus spécifiquement, ses recherches actuelles portent sur le dynamisme du mouvement contre l'avortement. Elle est membre de divers groupes de recherche dont le Collectif de recherche Action Politique et Démocratie ainsi que la Chaire Raoul-Dandurand. Depuis 2022, Véronique a obtenu différentes bourses, dont la bourse de rédaction du CÉRIUM (Université de Montréal), deux bourses de la faculté des sciences humaines (UQAM) ainsi que diverses bourses à la mobilité afin de mener ses recherches aux États-Unis. Finalement, elle est membre du comité de coordination du Comité de veille en avortement du Québec, piloté par la Fédération du Québec pour le planning des naissances (FQPN).

Sandrine Renaud
Membre associée
Doctorat

Sandrine détient un baccalauréat et une maîtrise en ergothérapie de l’UQTR. Après avoir pratiqué l’ergothérapie pendant quelques années, elle poursuit maintenant un doctorat en philosophie, concentration éthique appliquée, sous la direction de Marie-Josée Drolet. Dans sa thèse, financée par le CRSH, elle s’intéresse au concept de sanisme, qui réfère au système d’oppression envers les personnes catégorisées comme ayant un trouble de santé mentale ou comme n’étant pas « saines d’esprit ». 

Sandrine a été coordinatrice de la CREF en 2022-2023.

Junior Rosier
Membre associé
Doctorat

Détenteur d’un baccalauréat et d’un master en philosophie de l’École Normale Supérieure de l’Université d’État d’Haïti (UEH-ENS), Junior a réalisé des études de maîtrise en France, dans le cadre d'un programme délocalisé de l'Université Paris 8.  Il enseigne la philosophie à l’Université d’État d’Haïti à Limonade (CHC-UEHL) tout en poursuivant des études doctorales en philosophie à l’UQTR. Dans sa thèse, il s’intéresse aux conséquences de l’esclavage colonial dans les Caraïbes francophones (Martinique, Guadeloupe et Haïti). Sa thèse s'inscrit au confluent de la phénoménologie de la race et de la philosophie politique décoloniale, et traite de la persistance de la colonisation dans la corporalité antillaise et de sa nécessaire décolonisation.

Junior est actuellement auxiliaire de recherche à la CREF.

Marie-Christine Roy
Membre régulière
Doctorat

Marie-Christine est doctorante en Sciences humaines appliquées à l’Université de Montréal sous la direction de Ryoa Chung (philosophie, UdeM) et Yves-Marie Abraham (HEC Montréal). Dans sa thèse, Marie-Christine s’intéresse aux injustices structurelles dans le contexte de l’industrie du vêtement, injustices qui prennent la forme d’iniquités Nord-Sud, d’exploitation genrée et d’injustices environnementales, notamment. En mobilisant la littérature sur les injustices structurelles et sur la décroissance, Marie-Christine explore la façon dont celle-ci, en tant que champ théorique et champ d’action pratique, peut aider à expliquer les injustices structurelles et à identifier des solutions applicables à l’industrie du vêtement. 

Marie-Christine est actuellement auxiliaire de recherche à la CREF.

Félix St-Germain
Membre associé

Détenteur d'un baccalauréat et d'une maîtrise en philosophie de l'Université Laval, Félix enseigne au Cégep de Trois-Rivières depuis 2020. Son mémoire sur le corps dans la pensée nietzschéenne l'a amené à s'intéresser aux rapports de pouvoir qui se sont institués à travers les dualismes de la métaphysique dominante. Ses réflexions se poursuivent actuellement dans ce sillage autour des thèmes de l'animalité et de l'antispécisme. Il tient également la chaîne de vulgarisation philosophique Le Philoscope sur YouTube.

Félix est actuellement auxiliaire de recherche et coordonnateur de projets de recherche à la CREF. Il assure également la liaison avec le Cégep de Trois-Rivières.

Saaz Taher
Boursière postdoctorale
Postdoctorat

Détentrice d’un doctorat en science politique de l’Université de Montréal, Saaz est chercheuse postdoctorale au Centre de Recherche en Éthique (CRÉ), à la Chaire de recherche du Canada en éthique féministe (CREF), ainsi qu’à la Chaire de recherche du Canada sur l’injustice et l’agentivité épistémiques (CRC-IAE). Boursière postdoctorale Mitacs, elle co-dirige actuellement une recherche, au sein du projet PARR (Promotion des Actrices Racisées en Recherche, Relais-femmes), visant à documenter et à analyser les injustices épistémiques vécues et les résistances épistémiques produites par les femmes et les personnes non binaires noires et racisées impliquées en recherche partenariale au Québec. Ses travaux se situent, plus largement, au croisement de la philosophie critique de la race et décoloniale, la philosophie du langage, ainsi que les épistémologies sociales et féministes.

Clémence Tanneau
Membre régulière
Doctorat

Clémence détient un Diplôme d'Etat en ergothérapie de l'université de Lyon (France), ainsi qu'un master en science de l'éducation de l'université Saint Etienne (France) et un master en santé publique de l'université de Lorraine (France). Actuellement en doctorat à l'Université du Québec à Trois-Rivières en Philosophie, concentration en éthique appliquée sous la co-direction de Naïma Hamrouni et Marie-Josée Drolet. Ses sujets d'intérêts concernent la parentalité et les transformations occupationnels que cela induit. Cette réflexion s'inscrit dans une perspective féministe, et s'appuie sur les sciences de l'occupation, interrogeant les injustices et opportunités créées ou empêchées au travers de l'accès à la parentalité.

Didier Zúñiga
Membre associé
Postdoctorat

Didier Zúñiga est actuellement professeur au département de sciences politiques à l'Université d'Alberta après avoir été boursier postdoctoral au CRÉ et à la CREF, de septembre 2022 à août 2023, sous la supervision de Naïma Hamrouni (de l'UQTR) et Yann Allard-Tremblay (de McGill). Ses intérêts de recherche portent principalement sur les théories féministes et les politiques autochtones et décoloniales, en insistant plus particulièrement sur la théorie politique environnementale et sur les disability studies.

 

Les statuts

Membre régulière ou régulier : Les membres régulières et réguliers sont des étudiantEs à la maîtrise ou au doctorat qui travaillent sur des thématiques s’inscrivant dans un des axes de recherche de la CREF. Leurs travaux sont poursuivis dans un esprit féministe, décolonial, antiraciste et anticapacististe. Étant des membres régulières et réguliers, iels s’engagent à 1) participer au groupe de lecture et ateliers de présentation des travaux en cours en collaboration avec la Chaire de recherche du Canada sur l’agentivité et l’injustice épistémique (UQAM, Amandine Catala), 2) organiser au moins une activité de recherche ou de transfert des connaissances en collaboration avec un ou plusieurs autres membres de la CREF (organisation d’un panel, d’un symposium, invitation d’une conférencière, coécriture d’un article, etc.), 3) participer à l’École d’été – SEDI Séminaire équité-diversité-inclusion en collaboration avec la Chaire de recherche du Canada sur l’agentivité et l’injustice épistémique. Iels sont soutenues à hauteur de 250$ par semestre pour leur engagement à dynamiser les activités de la Chaire. Iels peuvent obtenir des contrats ponctuels et sont soutenus financièrement pour l’organisation d’événements spéciaux.

Membre associéE : Les membres associéEs sont des étudiantEs à la maîtrise, au doctorat ou des postdoctorantEs dont les travaux rejoignent ceux des membres régulières et réguliers de la Chaire et s’inscrivent dans l’un de ses axes de recherche. Iels collaborent de manière ponctuelle à l’une ou l’autre des activités de la Chaire, mais n’ont aucune obligation vis-à-vis de celle-ci. Les membres associé.e.s peuvent devenir membres régulières lorsqu’ils répondent aux critères spécifiés ci-haut.